Allen Age : 25 Humeur : Embêtante ~
| message posté le Sam 5 Avr 2014 - 11:36 dans Allen, le dessinateur fou | • • | • • | Présentation de Allen "Je n'ai pas de phrase spécial, de mot qui me caractérise plus que d'autre mais je peux dire que j'aime les tartes aux pommes venues de Normandie" I- 1, 2, 3, viens donc avec moi.
Prénom et/ou pseudo : Allen
Âge : 16 ans
Origines : Américaine
Arrivée : En 1997, l'époque ou l'on était encore en deuil pour Kurt Cobain pour certaines personnes
Manie, habitude : Compter le nombre de mots qu'il vient de dire
Marque : Une tâche, semblable à une de naissance, sur l'épaule de couleur bleu marine
Groupe : à remplir après l'intervention d'Astrid.
II- 4, 5, 6, je suis ta hantise. « Je n’arrive à rien, je suis totalement décourager. De toute manière, je suis un incapable. Aucuns des ces outils pour dessiner ne m’est adapté. Par moment, les dégradés aux pastels à l’huile et les lapins violets fait avec le bic quatre couleurs de ma soeur déborde dans mes cahiers de cours et sur des feuilles blanches. Mais parfois, rien. Je n’ai rien. Rien. Rien. »
Il n’a rien : il devient fou. Il fait ce qu’on appelle aujourd’hui des crises d’hystéries. Du moins c’est ce qu’on pense. C’est ce qu’Allen pense. On suppose que casser des vitres, mettre ses oeuvres dites ratées par terre, crier des choses incompréhensibles et finir en position fœtale serait, en effet, des crises d’hystérie. Plus il grandi, plus il vit dans les limbes de l’adolescence, plus il fait des crises, plus il est seul. C’est un cercle vicieux pour lui, car le faite de savoir qu’il sera seul jusqu’à la fin de sa scolarité n’arrange rien. Les psychologues des bas cartiers de la ville n’ont pas été capable de provoqué les moindre bien-être en ce garçon. En même temps, Allen n’a jamais vraiment donné du sien, il se contentait de dire que son adolescence n’est que le début. D’après lui, ce serait un stade, un niveau, une sorte de donjon comme dans ces jeux virtuels totalement fou qui devrait avoir pour bute de préparer ces jeunes gens à quelque chose de beaucoup plus dure, plus difficile moral. Ce « level » nous dit si on peut, si on possède la force de continuer notre vie. Pour la plus part des personnes, tout va bien et ils passent leur chemin ; d’autres sont trop faibles pour monter d’un niveau. « Si on se suicide, cela veut dire qu’on est pas assez fort pour passer. L’âge adulte ne veut pas de nous, il a donc ordonné à l’adolescence de nous tuer. C’est simple. »
Même après ces crises récurantes, Allen dit, et persistera jusqu’au bout, qu’il deviendra un grand dessinateur de Street Art et deviendra connu dans tout Atlanta par les jeunes des années 2000. Malgré ses découragements et les critiques des autres envers ses œuvres, le dessin reste sa passion. Si il aurait un pouvoir, ce serait que tous ce qu’il dessine deviendrait quelque chose avec du volume, une forme. Quelque chose de matériel.
Allen fait partie de ces personnes qui sont encore en deuil de Kurt Cobain voir de Ian Curtis. Son école a passer le capte depuis longtemps mais pas lui. Il se projette en eux. Ces deux chanteurs sont aussi torturer que le jeune adolescent, peut-être pas de la même manière mais de la même façon.
Je ne serais dire si son physique demeure dans l’originalité. J’ignore si les cheveux blonds vénitiens, proche du roux, assez bouclés tombants au niveaux de ses yeux sont si extravagants que ça. Et pour sa peau beige ? Je crois que cette dernière a de nombreux grains de beauté que ce soit sur les bras, les jambes et sur le visage. Sous l’oeil gauche, trois de ces points sont positionnés de sorte à formé un triangle un peu près équilatéral. Quand Allen s’ennuie, il s’amuse a prendre le premier stylo qui lui passe sous la main et relie ces tâches. Il doit faire la même chose sur ses bras en cours, c’est toujours plus intéressant que d’étudier ou de lire une des œuvres de Dickens, l’homme qui a inventé les poches. Ses fins yeux bleus océans, où tu peux aisément contempler ton reflet sombre, ne sont ni fins ni grands. Il n’est pas typé asiatique comme typé style Tim Burton, il est entre les deux. C’est totalement imprécis. Par contre, j’ai la capacité de vous dire que le reste de son visage est étroits. Son nez et sa bouche le sont sans aucune hésitation et ses traits sont fins et secs. Très secs. On dit facilement qu’Allen est un canif, une allumette consumée, une brindille morte.
Pour ce qui est des vêtements, il a la manie de dessiner dessus. Chats, lapins, poissons, petits personnages. Il ne peut pas s’empêcher de gribouiller sur ces morceaux de tissus qui n’ont pour lui aucun intérêt particulier. Depuis, son père lui achète ses habilles dans une friperie car l’idée de voir son fils faire des traces de stylo sur un T-Shirt neuf qui n’était pas donné lui est insupportable. Cela ne dérange pas du tout Allen de savoir que ses vêtements récemment achetés sont en réalité quelque chose qui a probablement traînée dans une boutique assez mal entretenue depuis des années.
III- 7, 8, 9, sors vite de ton œuf. (L’histoire de votre personnage en 25 lignes minimum : écrivez d’abord la première partie, avant l’entrée dans le rêve, puis Astrid désignera votre couleur. Ensuite, vous pourrez finir votre fiche sur un autre post et attendre votre validation)
IV- 1, 2, 3, qui est derrière toi ?
Pseudo : Oh vous pouvez m'appelez Allen, j'ai pas vraiment de pseudo particulier
Comment avez-vous trouvé ce forum ? Dans une pochette surprise avec mon brevet ( que j'ai pas encore passé d'ailleurs ...)
Avez-vous des suggestions pour l’améliorer ? Juste le fait que sur le fond noir, l'écriture soit grise, on voit pas grand chose. Sinon le nouveau thème est juste sublime !
Avez-vous des remarques à faire ? Non pas vraiment
|
|