Allen Age : 25 Humeur : Embêtante ~
| message posté le Mar 12 Fév 2013 - 8:28 dans Allen n'est qu'un garçon perdu. | • • | • • | I- 1, 2, 3, viens donc avec moi. Prénom et/ou pseudo : Allen Âge : 16ans Origines : Anglais Arrivée : 2013 Manie, habitude : Remettre correctement ses oreilles de lapins. Marque : Sur la paume de ma main gauche. Une note de musique. Groupe : à remplir après l'intervention d'Astrid. II- 4, 5, 6, je suis ta hantise. Vous voulez vraiment savoir à quoi je ressemble? Je pense que vous allez être un petit peu choqués mais si vous insistez. Je fais dans les environs de 1mètre 65 , une taille un peu près normal pour un jeune garçon de mon âge. Mes yeux, plutôt grands, sont d'une couleur assez spéciale: Rouge sur les bords suivis d'un jaune canari; pour tout vous dire, je porte des lentilles. Je n'aime pas mes yeux d'origines qui sont noirs, tout noirs. Je préfère la couleur. Non pas pour qu'on porte l'attention sur moi; juste pour dire que je ne suis pas comme les autres humains. J'ai une peau très blanche. Je n'aime pas le soleil, alors je me cache à l'ombre. Pour m'amuser, avec un marqueur noir, je me suis fait un trait juste au dessus du nez et trois points en dessous de mes yeux colorés. Sachant que c'est fait au feutre qui ne s'efface pas, ils ne me quittent jamais! Mes cheveux roux sont souvent cause de moquerie, ils sont complétement naturels même si on me dit souvent de les teindre. Je n'en n'ai pas envie car le roux est une couleur originale, une couleur vive et ça change. Je crois que c'est tout. Vous souhaitez savoir le style de vêtement que je porte? Alors, par où commencer. Premièrement, j'ai adopté un style qui me convient parfaitement. Je crée mes habilles moi même avec de vieux vêtements troués. Mon père disait que je faisais de recyclage. Au moins je ne dépense pas de l'argent pour rien. Il y a peu, j'ai inventé un nouveau pull que je ne quitte plus: c'est un sweet violet, (jusque là, tout va bien). Dont la capuche, que je pose sur ma tête la majorité de mon temps, il possède des petits yeux, une petite bouche et de grandes oreilles de lapin. On peut voir aussi des dents féroces. Il y a plusieurs trucs et choses collés sur ce pull, étrange. Un peu n'importe quoi. Je n'aime pas que les autres personnes voient mes mains à cause de la note de musique qui estt sur la paume, je porte donc des gants de tant à autre pour rigoler un peu. Bref, voilà mon physique de tous les jours.
Ma mentalité est comment dire; spéciale. Je suis plutôt associable, froid et un peu mishantrope. Mais au fond, dans les profondeurs de mon cœur, j'ai de la gentillesse, envers les personnes que j'aime. Uniquement ma sœur, Lea. Je la consolais et lui souriait quand elle pleurait. Je l'aimais et elle m'aimait; c'est ce qu'elle me disait. Pour dire vrai, j'aime les gens qui m'aime en retour. Dans mon école, dans la rue; personne ne m'apprécie; je ne les apprécie pas. Il n'y a pas de raison de faire semblent avec des gens qui se fichent de moi. Je suis intelligent pour un garçon de mon âge, je ne suis pas naïf pour me laisser prendre dans leurs discussions sans aucun sens. Bref, je m'éloigne un peu, mais je n'ai pas grand chose à dire pour ma mentalité et mes pensés. Ah si, je suis fou. III- 7, 8, 9, sort vite de ton œuf. Bonjour ou bonsoir. Je me nomme Allen et je suis né le 31 octobre 1997. Je suis actuellement en 2013 et j'ai seize ans. Mais bon, je pense que vous voulez savoir comment je suis arrivé dans ce rêve. Commençons par le commencement. Quand j'avais cinq ans, ma mère mise au monde une petite fille du nom de Lea (il n'y a pas d'accent). Cet accouchement aurait put être parfait si ma mère n'aurait pas succombé à la perte de sang, plutôt important, qu'elle avait eu pendant cette journée du 14 mars 2002. Elle était morte, à jamais. Enfin, à ce que je sache les mort ne reviennent pas à la vie. Depuis ce jour, mon père a sombré dans l'alcool et dans la drogue. J'avais peu d'ami et une famille contenant une personne plus jeune que moi, Lea. Si on enlevait ma sœur et Connor, mon ami imaginaire, je n'avais plus rien. Ma sœur était également associable, tout comme son frère ainé. Une famille sans amis avec un père alcoolique... Elle n'était pas belle ma vie? De plus, Lea s'en voulait énormément car elle pensait que la morte de maman, l'alcoolisme de papa était de sa faute. Elle pleurait pendant plusieurs nuits en portant mon pull violet pour jouer avec les oreilles de lapin, en même temps je la consolais en lui chantant des chansons d'enfant; du style le Roi Lion ou encore Alice au pays des merveilles. Ma petite sœur rêvait d'aller des ces différents mondes pour avoir une vie sans ennuies. Elle s'endormait sur ces mélodies pour me dire, le lendemain au petit déjeuner, qu'elle était dans un monde avec de gentils personnages qui souriaient, dansaient et chantaient. Je glissais des légers sourire en entendant ces paroles. On avait peut-être cinq ans de différence, c'était ma meilleure et plus fidèle amie. Je ne pouvais vivre sans elle et elle sans moi. Pendant dix ans c'était comme ça. Pendant dix longues années j'ai vu ma sœur pleurer, mon père se droguer et moi résister. Résister à toutes ces choses dramatiques et mélancoliques. Quand j'avais quinze ans, et Lea dix ans; mon père... comment dire... a était retrouvé, allonger sur le sol du salon alors que je rentrais des cours, tenant Lea par la main. Je laissais ma sœur dehors, choqué, et je me précipitais vers mon cher père effondré sur le tapis. Je pris son pouls. Rien du tout. A côté de son corps, j'ai pu voir un paquet d'héroïne vide. La drogue l'avais tué. Nous étions trop pauvres pour aller à l'hôpital. Je revins vers la porte d'entré, l'ouvris, vis ma sœur pleurer, encore, la regardais, les larmes aux yeux. Je la pris dans les bras, lui chuchotais la chanson du Roi Lion; "C'est l'histoire de la vie"; et lui disais qu'on était définitivement seuls. Plus personnes n'étaient là pour nous aider, nous abriter, nous aimer. Qu'allions nous faire? Qu'allions nous devenir? Nous étions à jamais seuls, plus personne chez qui aller. Nous passions une semaine sans parents, à vivre seuls. Ayant un père drogué, aucune famille ne voulait de nous donc j'essayais de faire à manger et toutes ces choses là. Le problème c'est que nous n'avions pas d'argent et la mairie et venu frapper à la porte de notre maison. Pourquoi? Pour nous demander de payer le loyer. Avec quoi? Dix sous? Ils ne voulaient pas nous déclarer. Nous avions été chassé de notre propre maison. Où allions nous? Où?! Je voudrais savoir! C'était ça la vie d'orphelin?! Je volais pour ma petite sœur, je volais pour vivre. Une semaine, deux semaines, trois semaines en volant et dormant dans les rue délabrées de cette ville. Était-ce vraiment ça une vie normal? C'était insupportable, ma sœur était malade. Pas grand chose mais ça pouvait empirer d'une minute à l'autre. J'essayais de la soigner, jusqu'au jour, où un homme, vêtu de noir avec un capuche, vint vers nous et nous fit un geste de la main. Il disait clairement:"Suis-moi!" Me connaissait-il? Je m'en fichais de la raison. Je l'ai suivis. Ma sœur à côté, je le suivis. Il nous emmena au port et pris un bateau. Nous prîmes le bateau, aussi. L'homme de déboisa pas un mot de tout le trajet. Cela avait duré une journée.
-Pourquoi nous avoir pris sous votre ailes? dis-je d'une voix solennel
-Des enfants ne m'hérite pas ce sort. Vous me faisiez pitiés Arrivé à destination, je vis que c'était une île. Lea me tenant la main fortement, par peur, je continuais à lui murmurais des petites chansons. L'homme de tout à l'heure était là. Il nous montra notre chambre. J'étais étonné de voir quelqu'un qui voulait bien de nous, nous ne discutions pas. Avant de partir, l'homme nous dit:
-Ne sortez pas la nuit.
Pourquoi? Enfin, je ne voulais pas essayer. Nous avions un lit, de la nourriture et plein d'autre chose. Pourquoi gâcher ça en allant voir ce qui se passe la nuit. Même si cela m'intriguais. Plusieurs jours passèrent, et je remarquais que la nuit, il y avait des sortes de prière; mais elle n'était pas normales. Je ne savais pas vraiment ce qui se passait, je voulais voir ce qui ce passait mais l'homme nous avait clairement dit de ne pas bouger de nos lit pendant la nuit. Plusieurs mois passèrent et je ne pouvais me retenir de regarder ce qui se passe. Ces prières ne sont pas normales. Alors que Lea dormait, je descendis. Les bruits venaient du hall d'entré. Était-ce vraiment un hall? J'entrouvris la porte. Je pense que je n'avais jamais été aussi choqué que ça. Ah non, je retire ce que j'avais dis, ma vie était un enfer. Bref, des hommes, avec des capuches noirs sur leurs têtes, prièrent un dieu. J'observais plus attentivement. Ce n'était pas Dieu, mais Satan! Je me trouvais dans une sorte secte; ces gens étaient tous des tarés. Il fallait que je parte d'ici tout de suite avec Lea. Nous ne pouvions pas rester ici plus longtemps. Le lendemain, j'avais tous raconter à Lea. Elle ne voulait qu'une chose, elle aussi, partir d'ici. La nuit qui suivit, pendant que ces fous prièrent Satan, nous nous sommes rendus sur la plage et avons pris une barque. Sur la barque en bois nous sommes partie sans nous faire remarquer. Un long chemin nous attendait, mais pour sortir d'ici nous étions prêt à tout. Je ramais pendant que Lea s'endormait doucement, tendrement. Il faisait chaud, le lendemain le soleil tapait sur nos tête et épaule. Nous n'avions ni eau, ni nourriture. C'était insupportable. Deux jours plus tard, nous n'étions toujours pas sur la terre ferme. Lea se sentait mal. Je ne savais pas si c'était le soleil ou juste un simple mal de mer. Un jour, deux jours, trois jours. Lea n'en pouvait plus, j'avais enfin compris que le soleil était trop fort. Elle ne pouvait pas succombé, c'était ma seule famille. La dernière chose qui me restait. Je ne voulait pas finir seul.
-Lea, ne meurs pas! Tu es la dernière chose qui me reste au monde! -je me mets à pleurer- Reste avec moi!
Elle me dit avec un sourire: -Je t'aime, sort d'ici pour moi.
-NOOOOOOOOON! LEA! PARTS PAS!
Elle... était.. Morte... Je n'avais plus de famille. Plus de gens qui m'appréciaient. J'étais seul... Vraiment seul... TOUT SEUL! Le corps de ma petite sœur était froid et inactif. Je ne pouvais plus le voir. Plus voir le corps de ma sœur. Je me mis à rire. Tout en pleurant. Je pris la brique de marbre qui se trouvait devant moi et la mis à l'eau. En voyant Lea couler, se diriger dans les abysses de l'eau, je me remis à pleurer, sans rire. Je ris, je pleure, je ris, je pleure.
« Bonjour petite couleur perdue… Astrid est là, Astrid est venue te sauver, n’aie plus peur… Astrid est seule aussi, veux-tu jouer avec Astrid ? »
Qui est cette enfant? Elle me fait penser à Lea. Elle revient! Lea est là! Lea! Lea! Lea! Lea! Lea! Lea est lààààà!
-Je veux jouer avec toi, petite.
« Astrid choisit une couleur, Astrid choisit une couleur ! De quelle couleur va-t-elle te peindre ? Elle va te peindre en ROUGE ! Rouge passion, rouge colère… Elle va te peindre en ORANGE ! Orange, centre de l’univers… Elle va te peindre en JAUNE ! Tu seras heureux à jamais… Elle va te peindre en VERT ! Vert, la chance te guidera mais… Elle va te peindre en BLEU ! Peur dans les plaines abyssales… Elle va te peindre en VIOLET ! Tes souvenirs te feront mal… Elle va te peindre en INDIGO ! Ta folie tu ne pourras que craindre… De quelle couleur va-t-elle te peindre ? »
Lea! Lea! Lea! Lea! Lea! Lea! Lea! Lea! Lalalalala! C'est pas elle... Lea... Lea... Revient. Je me mis à pleurer et cria s'échappa de ma bouche: - LEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA! IV- 1, 2, 3, qui est derrière toi ? Pseudo : Ella ou Ellou pour les intimes Comment avez-vous trouvé ce forum ? Top-Sites ^^ Avez-vous des suggestions pour l’améliorer ? Y a mes deux couleur préférés, je peux rien dire. Avez-vous des remarques à faire ? [code validé ♥] |
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Allen Age : 25 Humeur : Embêtante ~
| message posté le Dim 24 Fév 2013 - 8:33 dans Re: Allen n'est qu'un garçon perdu. | • • | • • | La petite fille au cheveux blancs était nommée Astrid, c'est un jolie nom. Un nom qui lui allait à ravir. Un prénom doux et gracieux. Elle ouvra sa fine bouche pour dire quelques mots d'enfants; d'enfant? La petite chanson qu'elle venait de chantait, Lea les adorait. Je lui en chantait tout le temps, tout les jours quand elle pleurait. Je pourrais plus jamais faire ça, car elle n'est plus de notre monde, les morts ne reviennent pas à la vie. C'est bien connu.
"« Toi dont l'univers vacille, qui a perdu son dernier point de repère, Astrid va t'aider à retrouver ton équilibre... Elle va te peindre en INDIGO ! »
Indigo? J'étais donc fou; enfin, je le suis devenu après la mort du seul être que j'aimais et qui m'aimait. Mes nerfs avait lâcher, mes yeux s'était dilatés. Je ne veux pas devenir comme mon père, je ne veux pas sombré dans la drogue et mourir après. Lea m'as dit que je devais sortir de là, pour elle. Si cela était son souhait, je l'exaucerais avec force et dignité. Par fatigue, mes yeux se fermait, doucement, lentement, à point fermé. Je m'écroulais sur tout le long de la barque. Astrid n'était pas là pour me retenir. Elle était partie; je ne sais où. Mon réveil fut quelque peu agité, un bruit, plus qu'étrange, était venu se poser jusqu'à mes deux oreilles. J'ouvris les yeux et, je ne savais pas comment, je ne me trouvais plus sur la barque. Mais quel est cet endroit?
Voilà, je vous ai tous dis de ma vie. Je pense qui n'a plus rien à rajouté; vous savez maintenant comme j'ai atterris dans ce rêve, dans cette endroit. Comment j'ai rencontré Astrid. |
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