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Cassio, le garçon qui aurait dû être une fille

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message posté le Sam 24 Déc 2011 - 0:59 dans Cassio, le garçon qui aurait dû être une fille
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I- 1, 2, 3, viens donc avec moi

    Prénom et/ou pseudo : Cassio
    Age : 14 ans
    Origines : Brésilienne
    Arrivée : En 2014
    Manie, habitude : Toujours accepter ce qu’on lui demande
    Marque : Ventre - Symbole du sexe féminin
    Groupe:/


II- 4, 5, 6, je suis ta hantise.

    Cassio est un garçon...pas vraiment comme les autres, il est une véritable fille manquée. Ses cheveux sont blonds presque doré lui arrive jusqu'aux bas de ses épaules, ses yeux sont d'un vert émeraude et sa peau est comme le chocolat au lait, tendre et lisse. De plus sont corps est fin et loin d'être musclé et sa voix est unisexe. Pour couronner le tous sa grande sœur adore le travestir de force en lui mettant des robes ou autre vêtement féminin et comme si ça ne suffisait pas Cassio est très efféminé dans son comportement. Le seul moyen de voir que
    Cassio est un garçon est son style vestimentaire, mais il faut avoir l'œil, il se balade avec une chemise rouge avec des rayures noires à la verticale et sans aucun bouton ouverts de la sorte qu'on ne puisse pas voir son cou, il a aussi des mitaines de la même couleur ainsi qu'un pantalon bleu et des chaussures noires. (Bien sûre il porte aussi des robes grâces à sa sœur fane de cosplay).
    Comme vous pouvez le voir, on ne peut pas voir beaucoup le corps de Cassio, c'est pour la pure raison qu'il est
    pudique, mais vraiment pudique, pour lui si on voit les jambes, le cou, ou les bras d'une personne est comme un signe de provocation sexuelle. En dehors de cela Cassio est un garçon calme et gentil, mais il est assez peureux, qui réfléchit avant d'agir et qui préfère parler plutôt que taper. Cassio est aussi persuadé que tout le monde lui en veut, mais il n'est pas du genre rancunier et pour cela il se laisse faire quand on lui fait du mal.


III- 7, 8, 9, sort de ton œuf.

    C'était l'hiver 2000, le 2 février pour être précis, ce jour-là je suis sorti des entrailles de ma mère et ce fut jour-là que mes parents m'abandonnèrent avec ma grande sœur Camila, âgée de 7ans... Je n'ai jamais connu mes parents, pour moi c'est ma sœur qui s'occupe de moi depuis toujours et c'est d'ailleurs la vérité même s'il est vrai que nos grands parents nous ont élevés pendant neuf ans. Je m'étais toujours demandé pourquoi mes parents nous avaient abandonné, ma sœur m'avait toujours dit que c'était par manque d'argent et qu'ils ont préféré fuirent leurs responsabilités, mais moi je suis sûre que ce n'est pas la raison de leurs départs, je sais très bien que je suis le responsable... C'est à cause de mon apparence féminine, quel parent voudraient d'un garçon qui ressemble à une fille ? Déjà à la maison Camila me le rappelait souvent en me forçant à mettre des robes et autre vêtement féminin tout en prenant des photos, tout en m'appelant toujours « ma mignonne ». À la maternelle les autres garçons m'embêtaient déjà, en me faisant toute sorte de blague puérile ainsi que des insultes sur mon apparence. À l'école primaire comme je pouvais mit attendre, ils continuaient... Et au collège la situation empira, amuser par les blagues des garçons, les filles commencèrent à me faire subir le même traitement. Même les professeurs se moquaient de moi dans mon dos... Je savais bien que derrière toutes ces moqueries ce cachait une haine envers moi, tout le monde me haïssait à cause de mon apparence, il n'y a que ma sœur qui m'aime. Mais ce matin fut le pire de ma vie, le réveille sonna comme à son habitude et m'extirpas de mon sommeil. J'avais le pressentiment d'avoir oublié quelque chose, je m'en souvenais que lorsque ma sœur fit éruption dans ma chambre en criant.
    -Joyeux anniversaire ma mignonne ! à oui c'est vrai, c'était mon anniversaire aujourd'hui, ma sœur venait toujours dans ma chambre pour m'apporter mon petit déjeuné au lit. Je détestais mon anniversaire, certes ma sœur était au petit soin pour moi, mais mes camarades aussi l'étaient... Je mangeai le plus lentement possible, comme si je pouvais échapper à cette journée alors que je savais très bien que cela était inutile. Je sortis de mon lit et regarda par la fenêtre, pour une journée d'hiver il faisait vraiment un temps magnifique, dommage, la météo sera gâchée par les idioties de mes camarades. J'ai pris mes affaires de cours puis je me dirigerai vers la porte.
    -Camila je pars !
    -À ce soir Cassio et n’oublie pas qu’on va au cinéma ce soir !
    J'avais complètement oublié le cinéma de ce soir, à chaque anniversaire ma soeur avait économisait toute l'année pour pouvoir m'emmener au cinéma, ce genre de moment était rare, car depuis le départ de maman et papa c'était à elle qu'incombait la tâche de ramener l'argent... Je poussai un grand soupir avant de partir de mon appartement, pourquoi j'étais si différent ? À cause de moi ma soeur subissait l'enfer tous les jours alors qu'elle était normale... J'aimerais tant disparaître ou même de ne jamais exister, Camila n'aurait pas besoin de travailler et pourrait se consacrer à de vrai études et recevrais l'amour d'une véritable famille. Je continuai à marcher jusqu'à arriver devant le portail de mon collège, j'ai pris une grande inspiration puis je rentrai dans l'enceinte, étrangement personne ne m'avait attendue à l'entrer pour me ridiculiser, d'ailleurs personne ne rigolait en me regardant, ils parlaient tous dans la cour sans me regarder, comme si j'étais normal. Puis la cloche sonna, tout le monde rentrèrent en cours, pas une bousculade, pas de croche patte, rien... Une fois en classe, je m'assoyais à ma place habituel, personne n'avait tiré ma chaise pour que je tombe, j'étais des plus troublés, d'habitude je recevais le double de blague le jour de mon anniversaire, puis le professeur pris la parole en me regardant.
    -Cassio peux-tu aller chercher un flacon vide dans le placard si-il te plait.
    -Heu… oui bien sûr messieurs.
    Le professeur me demandait toujours à moi d'aller prendre un objet, enfin rien de plus normal je suis le proche du placard, mais au moment où j'ouvris le placard un jet de peinture m'aspergea la tête, j'étais recouvert de jaune, de vert, de violet et de plein d'autres couleurs. Je poussai un grand cri aigu, suite à cela il avait eu un grand éclat de rire provenant des autres élèves, je me suis retourné vers le professeur qui se retenait de ne pas rire, voyant que je le fixai il reprit son sérieux et pris la parole.
    -Qui le malin qui a fait une farce aussi stupide !
    Je baissai la tête tout en serrant les poings, j'avais les larmes aux yeux et la rage au ventre.
    -Aller tous vous faire voir bande de... bande de...
    Je partis en pleurant en dehors de ma classe, je les haïssais, mais je ne pouvais les insulter parce que... Pourquoi ? Pourquoi je ne l'ai pas insulté de tous les noms ? Ils le méritaient tous... Soudain j'entendis des voix dans mon dos.
    -Cassio ! Tu es passé ou ?
    J'accélérai ma course comme si ma vie était en jeux, mais je m'emmêlai mes jambes et je tombais, je ne me suis pas relevé, je restai au sol à pleurer. Il ne fallut pas beaucoup de temps à mes poursuivants de me rattraper, c'était Madame la directrice et mon professeur. Elle m'emmena dans son bureau.
    -Cassio ne t'inquiète surtout
    pas, ces garnements auront une punition dont ils se souviendront, je vais appeler ta soeur pour qu'elle vienne te chercher.
    Je continuai à renifler, la tête baissée avec une serviette dans ma main droite pour m'essuyer, ils allaient encore plus me détester et m'infliger encore plus de misère, j'en frissonnais. Un quart d'heure plus tard Camila arriva et me sera aussitôt dans ses bras.
    -Ma mignonne, mais que ton-t-il fait
    Je ne répondis pas, je me suis contenté de la suivre, on est partis comme à notre habitude bras dessous bras dessus. On rentra chez nous, ma sœur m'entraîna dans la salle de bain et me lava de force, je déteste quand telle fait ça, elle peut voir certaine partie de mon corps que seul moi est le droit de voir, comme mes genoux, mes coudes, ou même mon dos ! Ensuite pour me sois disant remonter le morale elle me travestissait. Elle continua ainsi en prenant des photos jusqu'à l'heure de partir au cinéma. On est partis encore bras dessus bras dessous, pendant tout le trajet je ne dis pas un mot, Camila me regardait tous les cinq minutes avec un air inquiet, puis elle finit par s'arrêter.
    -Bon... Que t'arrive-t-il ?
    -...
    -Aller ma mignonne tu peux tout me dire !
    -Tu me déteste ?
    -Quoi ?
    - Me détestes-tu ?
    -Mais enfin bien sûr que non ! Tu es ma mignonne !
    -Justement ! C'est à cause de moi si maman et papa sont partis ! C'est à cause de moi si tu dois travailler si dur tous les jours aux lieux de faire des vraies études ! C'est ma faute si...
    Je ne pus pas terminer ma phrase que Camila me gifla, puis elle m'a pris dans ses bras.
    -Ce n'aie pas ta faute si nos parents sont partis ! Le seul problème c'est qu'ils n'ont pas voulue prendre leurs responsabilités ! Et si je ne fais pas d'études aujourd'hui c'est moi qui les décidées pour pouvoir te donner une vie à peu près normal et tu crois que je t'emmènerais au cinéma à chaque anniversaire si je te détestais ?
    Elle continua à me serrer fort dans ses bras, je fis de même, je sentais ces larmes couler sur mon cou, on aurait pu rester des heures à s'enlacer et rater le film, mais je sens quelque chose de dur et froid s'appuyer dans mon dos, je n'avais pas eu le temps de me retourner que je sens les bras de Camila m'entraîner à l'arrière. Je pus voir ce qui m'avait touché, un pistolet, mais il n'était pas seul, un homme le tenait et le braquait sur nous
    -Aller toutes les deux je veux votre argent !
    Ma sœur ne répondit pas, elle se contenta de le fixer d'un regard noir, quand t'à moi je n'ai jamais autant tremblé. L'individu avait l'air de perdre patience il commença à bafouiller et à marmonner je ne sais quoi puis il m'a pris mon poignet m'entraîna vers lui et posa le pistolet sur ma tête.
    -Tu as le choix, c'est ton argent où je pète le crane de la gamine !
    -Non ! C'est bon je te donne ce que j'ai...
    Ma sœur lui tendit une liasse de billet, l'énergumène le pris rapidement et compta ce qu'il venait de recevoir, il trembla et rangea tout dans sa poche.
    - donne-moi le reste !
    -C'est tout ce que j'ai !
    -Tu refuse ? Dans ce qu'à dit adieu à la gamine !
    -Non !
    Camila sorti son couteau de poche et le planta dans son épaule puis elle me reprit dans ses bras et fit un acte d'abnégation.

    -Tu vas me le payer ! Crève !
    J'entendis une longue succession de coup de feu accompagner des gémissements de Camila puis il s'arrêta, j'entendis des bruits de pas, il était parti... Je sentais tout le poids de Camila sur moi, je n'avais pas tenus longtemps avant de m'écrouler sous son poids.
    -Camila c'est bon il est parti ! Tu peux te relever !
    Elle ne me répondit pas, mes larmes commencèrent à couler.
    -Camila réveille toi ! Tu m'écoute ? C'est ta mignonne qui te parle !
    Alors que je pleurais toutes les larmes de mon corps, je me suis sentis quelque chose d'humide couler sur moi...
    -Ca...Camila tu pleures ?
    Non elle ne pleurait pas, il y avait beaucoup trop de goutte pour que ce soit des pleures, je tentai vainement de regarder ce qui me tombait dessus, du sang ! C'était rouge, liquide, ça... ça sortait du corps de Camila, ça sortait de ces blessures... Je me sentais atrocement mal, jamais autre chose m'avait autant effrayé que cela. Le sang ! Je me suis à crier comme jamais. J'essayais de me glisser hors de l'étreinte de ma soeur, une fois cela fait je regardai mes vêtements, il était tous recouvert de sang, je tombai au sol, je me suis mis en boule en tremblant de partout, mes yeux grands ouverts, plus une seule larme ne tombait...
    -Bonjour petite couleur perdue… Astrid est là, Astrid est venue te sauver, n’aie plus peur… Astrid est seule aussi, veux-tu jouer avec Astrid ?
    Elle fit tomber des crayons un par un, je levai la tête vers la dénommée Astrid, je n'arrivai vraiment pas à voir son visage, tout ce que je pouvais déduire c'était que je m'adressai à une fille en fauteuil roulant puis elle commença à chanter d'une voix enfantine.
    -Astrid choisit une couleur, Astrid choisit une couleur !
    De quelle couleur va-t-elle te peindre ?
    Elle va te peindre en ROUGE !
    Rouge passion, rouge colère…
    Elle va te peindre en ORANGE !
    Orange, centre de l’univers…
    Elle va te peindre en JAUNE !
    Tu seras heureux à jamais…
    Elle va te peindre en VERT !
    Vert, la chance te guidera mais…
    Elle va te peindre en BLEU !
    Peur dans les plaines abyssales…
    Elle va te peindre en VIOLET !
    Tes souvenirs te feront mal…
    Elle va te peindre en INDIGO !
    Ta folie tu ne pourras que craindre…
    De quelle couleur va-t-elle te peindre ?
    Je l'ai regardé attentivement, puis je regardai mes vêtements puis j'ai cherché Camila du regard, mais elle était introuvable, j'ai fini par lui dire.
    -J'accepte je n'ai plus rien à perdre, tu n'as qu'à choisir ma couleur, aide moi...


IV- 1, 2, 3, qui est derrière toi ?

    Pseudo : Cassio
    Comment avez-vous trouvé le forum ? Par des amies
    Avez-vous des suggestions pour l’améliorer ? Heu… Pas vraiment
    Avez-vous des remarques à faire ? [code bon par Astrid ♫]
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Astrid Age : 30
Humeur : Changeante.

Astrid


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message posté le Dim 1 Jan 2012 - 23:03 dans Re: Cassio, le garçon qui aurait dû être une fille
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    « Petite couleur torturée, tremblant de peur sous un pupitre d'école, Astrid va te peindre en BLEU. »
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message posté le Lun 2 Jan 2012 - 20:46 dans Re: Cassio, le garçon qui aurait dû être une fille
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-Petite couleur torturée, tremblant de peur sous un pupitre d'école, Astrid va te peindre en BLEU.
Heu... J'ai entendu quoi là ? Qu'elle est cette histoire de couleur ? Comment ça je suis tremblant de peur ? Pourquoi j'ai accepté aussi vite moi ?! Mais étrangement je savais que j'avais fait le bon choix même si je paniquais et que je voulais m'enfuir. Mais alors que toutes ces questions m'assaillaient l'esprit j'ai senti mes paupières devenir lourde, vraiment lourde... Je ne devais pas m'endormir, ça n'était pas le moment, j'avais trop de questions à poser à cette Astrid... Mais je ne pus rien n'y faire, l'envie de dormir était trop forte.
Je venais de me réveiller, je n'avais jamais aussi bien dormi, de réflexe je chercha mon réveil pour vérifier l'heure, mais... ce n'était pas ma chambre, j'étais sur le sol, je regardai dans tous les côtés, j'étais entouré de ruine... d'origine scandinave je crois enfin je n'ai jamais été doué en histoire. J'eus soudainement froid, je baissai la tête, je me rendis compte que ma chemise était ouverte.
-Quoi ?! Non ! Non ! Ce n'est pas vrai et moi qui n'est pas voulue mettre un t-shirt en dessous ! Qui est le pervers qui a !!! Hein ?
Je regardai mon ventre une étrange marque bleue y était... Le symbole féminin, je suis resté pendant un moment figé sur place les yeux grands ouverts...
-Mais qui est le pervers qui m'a fait ce dessin sur le ventre !?
J'essayais d'effacer cette marque qui insultait ma dignité que je n'ai jamais eu, mais la marque ne s'effaçait pas... J'ai compris, c'est un tatouage, c'est sûrement Astrid qui me la fait pour... Pourquoi elle a fait ça ? Et surtout pourquoi choisir un symbole aussi humiliant ? J'espère qu'elle ne m'en veut pas non plus d'avoir cette apparence féminine... Ou alors elle est seulement perverse... J'ai reboutonné ma chemise nerveusement, toujours en faisant en sorte qu'on ne voit pas voir mon cou. Ces malin je ne sais pas où je suis, j'ai été victime d'un acte pervers, si ça se trouve on a abusé de moi ! Et en plus je suis tout seul... Je me suis relevé, bon puisque maintenant je suis ici, autant visité !
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Astrid Age : 30
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Astrid


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message posté le Lun 2 Jan 2012 - 21:36 dans Re: Cassio, le garçon qui aurait dû être une fille
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    Bien bien, je ne te fais pas attendre plus longtemps ^^

    Validé BLEU !
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message posté le dans Re: Cassio, le garçon qui aurait dû être une fille
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