Salut salut! Ceci est une histoire que j'écrirais non pas sans l'aide d'Enola ^^' j'espère que la fic vous plaira.
Introduction(By Enola)
Le ciel était sombre, une ombre opaque comme l’encre avait recouvert le rêve entier. Le ciel brillait d’une lumière d’obsidienne que le nuage sanguin teintait de leur couleur sinistre. Tout baignait dans un silence trop profond pour être naturel, le rêve d’Astrid, autrefois si lumineux et si joyeux semblait mort. Ce sinistre décor sembla soudain sortir de sa léthargie sordide lorsqu’un rire fou vint briser le calme ambiant. C’était un rire fou, un rire de joie extrême auquel se mêlait la folie. L’air devint lourd, l’orage allait bientôt éclater, et le rire résonnait toujours…Il prévenait de l’ombre des arbres, de l’ombre des feuillages, aux plus profondes abysses de la forêt silencieuse. La créature riait, jamais elle n’avait été aussi heureuse, son esprit qui avait tant de fois effleurer la folie y plongeait maintenant tête la première, toute sa démence se déchainait. La nature elle-même sembla transportée par cette allégresse soudaine, et comme pour y répondre, le ciel poussa un rugissement immense et déchirant, l’éclair s’abatis sur le sol, sa lumière aveuglante miroita un instant dans les eaux noirs du lac, la seule source de lumière vive était d’un froid sans vie, électrique. Les lourdes gouttes de pluie commencèrent alors à tomber des nuages, teintée du sang du ciel, venue s’éclater sur le sol pour venir aviver cette folie naissante. Ce n’était qu’un début, la tempête se déchaina, violente, impitoyable…Et le rire, toujours ce même rire, raisonnait, caché aux creux des arbres… « Libres ! »Le mot éclata dans l’orage, tel un grondement de tonnerre, déchainant la violence de l’esprit avec celui de la nature. « Nous sommes libres, mes frères, libres !!! ». Un vent violent et fou, le vent des tempêtes meurtrières vint accompagner les paroles du damné.
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Chapitre 1: Celui des violets
L'orage a éclater, la pluie tombe et ruiselle à grosse goutte. Cependant, cette tempête si inhabituel ne semble toucher que la région du lac et de la forêt. La ville foraine étant rélativement épargner. La vue de ces nuages avait attirer l'attention de plus d'un, certains restait à l'exterieur en voulant comprendre se qui se passait. Les autres, plus craintif préfèrait se réfugier à l'hôtel. Dont Qwil qui préférait rester enfermer dans sa chambre échappant ainsi à toutes ces 'idioties'. Il se disait que c'était juste Astrid qui s'amusait à leur faire peur.
Alors, il feignait ne rien craindre, avachi confortablement sur son lit et regardant son plafond comme si c'était l'activité la plus intéressante qui soit. Puis, la lumière de sa chambre s'éteint. Notre petit violet fronce les sourcils et se dirige vers sa porte et appuie sur le bouton qui lui sert d'interrupteur. Rien ne s'enclenche. Une coupure de courant sans doute, rien d'affolant, il se contente d'ouvrir les rideaux pour que la lumière puisse y rentrer librement. Tiens? Mais c'est qu'il fait vachement sombre dehors! Le violet hausse les épeules et retourne vaguer à ses occupations en se laissant tomber sur son lit.
Même après avoir fermé les yeux quelques minutes, le sommeil ne venait pas, c'est énervant! Il finit par ouvrir les yeux las, et le spectacle qui s'offre à lui le fait crier de la façon la plus virile qui soit. Qwil tombe de son lit par inadvertance et brandit son canif vers la cause de toute sa frayeur.
«
Mais c'est quoi ce truc? » Souffla-t-il alors qu'il vit, se dressant devant lui un homme ayant l'air beaucoup plus âgé que lui.
En fait, il se serait montré beaucoup plus calme si l'apparence de l'étrange personnage n'était pas aussi alarmante. Il se révélait que celui-ci avait une taille beaucoup trop grande pour être humain et son manque de visage vint confirmer son hypothèse. Alors que l'être avançait, la couleur reculait tremblante. Cependant, la créature ne lui semblait point hostile puisque celle-ci ressentant sa peur s'arrêta et le regarda avec une curiosité déconcertante. Elle avait presque l'air de dire 'Pourquoi as-tu peur?' Qwil lui aurait bien sûr répondu à cette question avec un 'Parce que tu débarques comme ça sans prévenir, IDIOT!'.
La couleur regarda rapidement autour de lui et vit que sa fenêtre était désormais ouverte expliquant par où était passé l'énergumène.
«
Retourne d'où tu viens, qui que tu es... » Prononça-t-il avec le minimum de courage qui lui restait.
Le violet aura continué sa phrase si des mots ne lui étaient pas apparus devant ses yeux, des mots ayant été écrits sur un bout de papier en grosse lettre.
«
'Ami... 'Ai-dez As-tr-id?'... » Qwil avait quelques difficultés à lire son écriture, mais sachant que ceci était bel et bien une question il y répondit «
… Non »