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WHITE OBLIVION ●● 志乃

Shino Humeur : 『smile』



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message posté le Mar 25 Mar 2014 - 23:06 dans WHITE OBLIVION ●● 志乃
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DOUBT - Paint it in white
IKASAMA LIFE GAME Hankubi soroeta JOKER wa. Warau. Yagate. Kanjou wa kiesatta. Sore demo sonzai riyuu nado Ato de kimeru mono. Warau. Hitori. Inore Michibiki no mama ni.
Comment s'appelait-il ? » Avant de ne tomber dans la dépendance aux jeux, aux pixels et de changer de vie chaque nouveau jour, Shino se nommait entièrement Shino Aru, un prénom et un nom perdus entre du japonais et de la poésie qui restent l'un des rares vestiges de son passé.

Quel est son pseudo ? » Chrome. Il ne l'a pas choisi, il s'est imposé. Au départ, ce pseudonyme n'était qu'un mot pris au hasard à ces chers anglophones, puis il s'est révélé être parfaitement approprié à lui. Pourquoi ? Allez savoir.

Quel âge a-t-il ? » Shino pourrait avoir mille ans, ou même trois ans. Des dizaines de siècles derrière lui, ou même une existence antédiluvienne. En vérité, il n'a que 16 ans. Mais c'est le premier à mentir sur son âge, sur sa mentalité, ce qu'il sait et ce qu'il voit, sans jamais trop en dire, de sorte que personne ne sache vraiment quel âge lui attribuer.

D'où vient-il ? » Un père nordique et une mère japonaise -qu'il a longtemps prise pour une geisha. Malgré cela, le jeune homme n'a pu voir que les côtes Est du Japon et parcourir vaguement l'île d'Honshu. Il n'a par ailleurs jamais connu sa famille du côté paternel. Mais il aurait mille fois préféré aller visiter les pays européens que ces bridés, de toute évidence.

En quelle année s'est-il égaré ? » Le miséreux s'est laissé vaguement dompté au XXIème siècle, à l'époque contemporaine, dans un courant du doux mois de mai ou de juin, en 2024, un siècle d'innovation où l'on découvre l'aspect scientifique des rêves enfouies. Où l'on devient tous, petit à petit, de plus en plus prosaïque.

A-t-il des manies ? » Il se nippe toujours de son gilet. En fait, ce qui l'intéresse dans ce vêtement, ce n'est pas le noir qui l'engouffre, mais sa capuche qu'il met toujours sur sa tête. Jamais vous ne le verrez sans, ou du moins les cheveux non camouflés par l'ombre de cette drôle de coiffe. Il met aussi souvent ses mains dans ses poches, ce qui était très malpoli et choquant dans les pays asiatiques, signe évident qu'il n'avait strictement rien à fiche des restrictions dues au respect de la vie en collectivité de ces 'coincés', disait-il. Il a également l'habitude d'avancer presque en courant, toujours au pas, dans un engouement presque parfaitement certain. Oui, c'est sûr. Il a toujours eu cet air égocentrique de gosse un peu trop vaniteux qui se laisse approprié par la moue d'un sage homme sûr de lui. Il possède aussi le sourire et le rire tyranniques. Ce n'est pas une habitude que nous lui reprochons, mais un de ces gestes un peu trop désagréables, qui nous picotent la gorge et qui sonnent comme étant une discordante dissonance une fois parvenus à nos oreilles. Il rit d'un ton sarcastique, toujours, à tout moment, même quand la situation exprime la fantaisie d'un silence approprié, il glousse, puis hurle de moquerie. Il a toujours eu un étirement guilleret aux commissures de ses lèvres et des yeux crépitant d'un bonheur tangible. Il rôde un peu partout en se trémoussant ou en fredonnant une rengaine joviale, angoissante, tordu, incompréhensible. Cette gaieté qui l'anime relève du pur automatisme, une chose bien à lui qu'il a adopté pour mieux s'accommoder. Mais cette joie omniprésente n'est que fiction. Shino est habilement programmé pour répandre allégresse et bonne humeur dans son sillage, conditionné pour danser, chanter, et même rire, même s'il met plus mal à l'aise -ce qui lui paraît d'autant plus comique. Mais en écoutant bien ce rire, on finit par se rendre compte d'un détail. C'est faux, ça sonne faux, tout est faux. Hypocrisie flagrante. Il est toujours le même, inexorable, et se répète inlassablement comme une fréquence radio allumée sur commande. La bouche se fend, et le rire en coule, sirupeux, acide. Il est machinal. La joie glacée de Shino est un vernis. Quelque chose qu'il s'est inventé, qu'on a inventé à sa place pour combler le néant. Le néant infini, douloureux, le gouffre abyssal qui se trouve là où devrait battre un cœur ; là où a grillé un cerveau, empli des souvenirs d'un garçon autrefois bien dans sa peau. Là où a brûlé le champ des possibles. Shino est aride. Il entraîne tout le monde dans sa macabre bonne humeur sans rien pouvoir faire d'autre et s'entoure d'habitants qu'il leurre de ses mensonges. Et le plus grave est sans doute qu'il a finit par y croire lui-même. C'est pour cela que parfois, il ne sait plus s'il doit rire ou pleurer. Et il ment. Il ment scrupuleusement, pour sauver sa vie, pour se moquer d'autrui, pour rendre la vie un peu plus rose et faire pousser des fleurs dans son jardin. Oui. Il ment comme il respire, à chaque goulée d'air, il profère cette pollution de leurres inavoués. Et un jour, il finira par s'étouffer, non ?

Elle ressemble à quoi sa marque ? » C'est une roue, et plus exactement la roue de la Fortune. Allégorie du destin, du hasard, de la prospérité, elle semble tourner sur elle-même sans jamais discontinuer, toujours en s'égrenant et jamais ne s'arrêtant. On la retrouve portée tel au fer sur son cou, côté droit, là où se mêlent ses blonds cheveux.

À quel groupe appartient-il ? » Groupe (à remplir après l'intervention d'Astrid).


IRONY - Paint it in black
Kuroi RACE no kyoukaisen, mamoru hito ha kyou ha imasen.
MIETERU MONO WO GISEI NI SHITE, MIENAI MONO NI TE WO NOBASHITE. MAZARIAU KOTO WA DEKINAKUTE, KAITE WA KESHITE NO KURIKAESHI. KUROI KUROI ITA WO MASSHIRO NI NURI TSUBUSHITE ; KUROI KUROI BOKU WO MASSHIRO NI NURI TSUBUSHITE ; KIMI TO ONAJI IRO NI SOMATTE MITAINDA ; SHIROI SHIROI KIMI WO MAKKURO NI NURI TSUBUSHITE. KORE DE BOKURA WA HITOTSU NI NARERU KANA ?
La couleur de ses yeux et de ses cheveux » Depuis sa naissance, Shino fait tâche parmi le paysage brun asiatique avec ses cheveux blonds, soupoudrés de pâleurs cuivrés, anciennement blond vénitien malgré le fait qu'il ait perdu de cette clarté comme tant d'autres. La faute, il sait parfaitement à qui la refiler. Son père est officiellement japonais, mais officieusement européen. Si lui dit se sentir bien dans l'Extrême-Orient, ce n'est pas le cas de cet enfant qui s'est reçu de nombreuses brimades de la part de ses camarades de classe sur la couleur de ses cheveux. Les gens peuvent être ridicules, en effet, car après tout, "individus ou peuples, sont à la merci de cette idée, consciente ou inconsciente, que 'l'étranger, c'est l'ennemi !'", de Primo Levi, et cela s'est vraisemblablement manifesté de façon excessive. Car en plus de cela Shino n'arrange rien à l'idée qu'on s'est fixé avec horreur sur sa personne : l'idiot s'est cru bon de vêtir des lentilles qui tâchent goulûment ses pupilles d'un soie pourpre. Ses yeux sont écarlates. Et il ne se rappelle même plus de sa couleur d'origine. Haha. C'était un mensonge. Par ailleurs, de sa mère, il n'a gardé que la forme des yeux légèrement en amandes et d'autres futilités qui ne nécessitent pas de profondes analyses.


Son odeur, sa corpulence, son poids et sa taille » Shino, il pue la victoire à plein nez. Il sent la sueur des jours d'entraînement passés devant son ordinateur pour exploser ses scores et adversaires, voire ses ennemis. Il dégage l'odeur de la bouffe d'aujourd'hui qui traîne encore sur son bureau tant il a eu la flemme d'aller la laver. En bref, heureusement qu'il prend des douches régulières sinon la petite de senteur de fleur de Tiaré qui enivre vos narines lorsque vous le reniflez comme des chiens ne serait pas si agréable à l'odorat. Côté taille, voilà un autre aspect physique qu'il tient sans aucun doute de sa mère -les futilités évoquées plus haut, puisque celui-ci est de petite taille. Il n'excède pas le un mètre soixante-douze, même s'il doit sûrement tricher avec ses chaussures qui lui confèrent quelques centimètres de plus. Son poids s'accorde plutôt bien à sa taille, car Shino tourne autour des soixante et un kilogrammes. Mais celui-ci dépend grandement du temps qu'il s'accorde pour manger lors de ses journées de farming intensif. En effet, s'il est plutôt chétif, si ses mains ont l'air parfaitement manucurées, comme s'ils n'avaient jamais connu de durs labeurs, c'est parce qu'il a la flemme de bouger ou de s'exercer. Il est malingre, sa corpulence est fragile et il sait même frapper ou fuir avec ses jambes : en clair, il ne s'écroulera pas.

Ses particularités physiques » Sa bouille. Il est à croquer, Shino, on lui a toujours dit ça, ironiquement, peureusement, courageusement, sincèrement ou non. Quoi qu'il en soit, le même refrain vient souvient égailler ses matinées, quand il rencontre de vagues silhouettes qui l'accostent comme s'il était le dernier mannequin en vogue. Il ne sait pas comment le prendre, s'il doit se vexer ou même s'attarder sur ce compliment anodin -et pourtant particulièrement singulier. Aussi, Shino fait parti de ces personnes-là qui n'aiment pas se nipper comme les autres, qui fait le mouton têtu qui, au lieu de suivre le bétail, va ridiculement dans le sens opposé juste pour une fierté mal placée. Il ne comprends pas non plus l'engouement qu'ont certains à suivre les dernières nouveautés modales de son siècle, ni l'apocalypse d'un T-shirt combiné à des chaussettes hautes et un pantalon en pattes d'éléphant, compensés de baskets. Oui. Il ne comprends pas cette phobie de mal se nipper, de se boulonner de futilités ou de participer à la propagande d'un commerce mondialement malsain en s'achetant comme autrui des parures factices ou des cosmétiques en plastiques. C'est con, mais faut croire que Shino est presque obsolète.
« Why are you alive ? » you said. I guess I have decided for a single answer. Right, mainly it's cruel, petty, egoist. I don't want to end it here ! Myself. Myself. Just myself.




Geek, gameur, qualifiez-le de tout autre synonyme, Shino, ou plutôt Chrome, ne cache pas au monde son addiction aux jeux, surtout lorsque ceux-ci mettent en jeu de gros butins ou une certaine reconnaissance dans le domaine. Il passe le plus clair de son temps à torturer son clavier ou massacrer sa souris. Mais ce n'est pas seulement dans le monde virtuel que sa dépendance aux jeux prend vie, car tant qu'il y a de la compétition, il essayera par tous les moyens possibles de gagner. Il est irréfléchi. Complètement détraqué, complètement stupide et bordé. Mettre sa vie en danger ? Du moment qu'il y a la carotte au bout, il y va. Si le loup lui crache des propos vaniteux à la gueule, il fonce dans le tas, il est là, il sera là pour rire, toujours, au même endroit, parfois pas au même moment. En plus, ne tentez pas de le raisonner car Shino n'est clairement pas sociable. Il ne possède pas une once d'empathie. Dans le petit monde qu'il s'est créé n'existent que lui et les rares personnes auxquelles il tient. Ces personnes, qui sont-elles ? Il ne sait pas encore, il est si ignare et égoïste, si misanthrope et perverti ! Et il s'y rend chaque jour, au creux de son petit jardin. Il y cultive les pousses de ses ambitions et y récolte les fruits de ses songes. « Réalité », c'est un mot bien trop dur à entendre pour ce garçon bercé par la faille glauque de son cerveau, alors qu'il est tout à fait prosaïque. En fait, Shino ne veut entendre et comprendre que la vérité qui l'intéresse. Aux restes de nos dires, il nous fait un grand 'fuck' et tourne le dos dans un rire saugrenu de vil manant. Il est juste oublié, dévasté, alors il cache sa misère derrière ses paupières qui lui servent de parabole contre les ondes sonores qui font vibrer l'air. Il ment. Tout le temps. Mais il déteste qu'on lui mente. Et pour ça, il s'est mis à se spécialiser dans ce domaine. Nos hontes et nos fantasmes, nos chuchotements à voix basse et nos secrets inavoués à quiconque, notre malheur derrière nos sourires ; tout ça, tout ça, il sait distinguer, trier et comprendre. Il est capable de savoir quand on lui ment. Il est complètement paranoïaque. Il est toujours tendu tel la flèche d'un arc prêt à rompre. Alors, il s'est mis à développer cette capacité de raisonnement, à puiser ce qui est utile, ce qui est vrai et assez crédible. Et sans que l'on s'en rende compte, il a déjà tout compris. Le problème, c'est que ce gosse ne cherchera jamais à s'éterniser avec des menteurs de pacotilles. Il est assez indifférent à notre sort, voire instable, une fois sa confiance secrètement dérobée.. Alors, il s'en va, il n'en dit mot, il n'osera jamais, parce que peut-être qu'au fond, ça le blessera toujours de voir qu'on continue de lui mentir, que la nature humaine continue de le pourrir. Alors qu'en fait, dans une vérité autre que la sienne, il n'en demeure pas moins complètement rancunier, aveuglé par sa haine, étouffé par les lamentations de ses rires. C'est donc normal que sa perspicacité lui ait depuis longtemps déjà ouvert les yeux sur le monde réel et la société qui le peuple bien que Shino reste un simple gamin qui s'invente des histoires burlesques faites de dragons et de princesses en attendant que Morphée vienne, la nuit, pour le kidnapper et regarder les grains de sable s'écrouler. 

Parce que oui, Shino, lui, il a des rêves. Il en avait pleins, autrefois, et regardait son avenir depuis son hublot en chantonnant une balade d'enfant, tirée d'on ne sait où. C'est un grand rêveur. Il est mature dans sa manière de pensée, mais totalement enfantin quand il exprime. Il est en contradiction. En constance désaccord entre la candeur de son passé et celui d'un homme blessé. C'est pour ça qu'il peut passer du rire à la tête sérieuse. C'est pour cela que son humour est dangereusement étrange, aussi incompréhensible que lui. Pourtant, son comportement est toujours le même et on s'habitue à sa vilaine manie de sourire comme un demeuré alors que ses yeux lancent des éclairs. Il sait juste quand il faut se taire ; pourtant, cela ne veut pas dire qu'il le fait. Du coup, par moment, il se montre alors excessivement bavard. Il sait les paroles qui agacent. Il sait les mots qui font douter et les gestes qui dégoûtent. Alors, il fait en sorte que la gêne s'installe sur nos joues puis il nous sourit d'un air chaleureux, comme s'il l'avait toujours été. C'est faux. Il est bizarre Shino, parce qu'on n'ose jamais rire à ses blagues ou participer à ses drôles de jeux. On ignore si on doit le prendre dans nos bras ou brutalement lui encastrer notre droite. Il nous fait dangereusement douter dans tout ce que nous faisons. C'est désagréable. Il met les gens mal-à-l'aise avec sa personnalité paradoxale.

Pourtant, pourtant ! Voilà le portrait de Shino que dépeint son entourage : blanc comme neige. Blanc pur qui, malgré son fort caractère bien trempé, reste vierge de toute salissure. Mais quelque cloche, c'est sûr. Pourquoi tout le monde s'accorde à dire qu'il est galant ? Il ne l'est pas, voyons, c'est un pur salaud ! Pourtant, il a beau être ainsi, Shino n'est pas méchant, juste un peu mesquin, juste un peu sadique. C'est un pervers. Il aime pervertir son monde avec son sourire malsain. Il nous enrobe tous dans la décadence qu'il s'est construit et dans laquelle il s'y plaît. Il n'est pas totalement blanc, mais il l'est tout de même un petit peu. Un blanc commun, que l'on voit tous les jours. Un blanc.

Et le blanc tourne au noir. Il n'y a que deux couleurs dans cette roue de Fortune. Alors, inévitablement, le blanc se corrompre d'une pénombre dévorante. D'un noir de désespoir. Noir de solitude. Noir d'un égoïsme qu'il s'est construit au fil du temps. Noir de quelque chose qui lui échappe. Les gens connaissent tellement peu Shino qu'ils ne se rendent pas compte du mal qui le ronge. Mais qui pourrait réellement comprendre ce qui se passe dans sa tête ? Ce qui fait qu'il passe du rire aux pleurs en une fraction de seconde ; alors qu'il n'a jamais ri. Ce qui le pousse à entendre les voix d'un soi-disant ami et à se prendre pour ce qu'il incarne ; comment distinguer ses mensonges d'une réalité qu'il veut à tout prix oublier ! Ce qui le rend si différent, trop différent, du reste du monde. Comme une angoisse qui l'oppresse et qui lui tiraille ses boyaux, qui lui tire les os des reins et lui arrache trois quatre fois ses cheveux en lui brisant les artères. Quelque chose d’insaisissable, d'immuable, d'irréelle et d'inépuisable, d'indescriptible et de détestable, quelque chose qu'il n'a pas voulu. Quelque chose dont il n'est qu'à moitié conscient. Quelque chose qu'il trouve anodin mais qu'il sait parfaitement étrange aux yeux des autres. Troublant. Désarmant. Handicapant. Il se tuerait pour exterminer le mal avec lui, ancré en lui, greffé, marqué, cicatrisé, tatoué et imposé en lui, mais c'est trop dur, son estime envers lui-même est un excellent prétexte pour éviter de sombrer dans les méandres d'un pitoyable suicide. Et on s'accorde tous à dire Ô combien il souhaite tourner le dos à toutes ces espérances envolées ! À toutes ces dégénérescences ensevelies sous des siècles et des siècles de traditions oubliées d'être perpétrées ! Dire bye-bye à ces junky d'une nouvelle décadence pareille à toutes celles connues au temps de jadis ! Faire un pouce vers le bas et écraser sous ses semelles les addictions qui enracinent son espace personnel ! Mais il s'accroche à cette estime pour garder les pieds sur Terre. Mais il s'éloigne de la société en faisant ça. C'est un marché équitable, après tout : sa paix intérieur contre une vie qui ne peut être influencée par aucune personne extérieure. Il est protégé des autres, il ne craint que ses propres mots, ses propres faits et gestes. Mais ce que Shino n'a pas compris, c'est qu'en se préservant de la sorte, il se déchire, tiraillé entre ses cauchemars du passé qui continuent de l'enchaîner et la culpabilité d'un miséreux présent qui ressere ses verrous sur lui.

Puis vint le rouge carmin d'un autre destin. Rouge de ses prunelles qui refusent de voir ce qu'on leur montre. Rouge de ce sang dont il s'est souillé pour rire comme aujourd'hui et hier, la veille comme les années suivantes. Rouge comme les cieux qui saignent au-dessus de son horizon incertain, bien au-delà de son mur fortifié, bien au-delà de ses songes écaillés et tournés au théâtre comique, au drame cocasse. Rouge comme ce monde sans couleur qu'il s'est construit grâce à ces pixels dans cette boîte de uns et de zéros. Rouge comme sa flamme vacillante, comme d'une rose sans pétales et d'un corps en lambeaux sans espoirs. Rouge de bouffonneries. Rouge du grotesque de chaque promesse qu'il s'est fait. Rouge des pas incertains qui dominaient les rythmes aberrants de ses mésaventures. Rouge. Rouge. Rouge. Rouge comme son monde qui se couche alors que l'aube du monde se lève.

Son orientation sexuelle » S'il n'était pas déjà mariée à son ordinateur et ses consoles, ou même à lui-même, peut-être aurait-on pu le qualifier d'hétérosexuel. Mais pour quelqu'un d'aussi instable que lui, changer d'orientation sexuelle, c'est comme changer de paires de chaussettes... Par conséquent, quelques fois, l'envie de tout oublier sauf sa personne devient omniprésente : dans ses moments-là, il semble être sans doutes asexuel.

Ses rêves et ambitions » Shino, avant, il avait foi en ses rêves et en l'espoir qu'une nouvelle aube prône dans son monde. Il aspirait à de grandes choses, conspirait à respirer l'air d'un renouveau, d'une étrangeté qui lui siérait. Il n'est pas vraiment ambitieux, juste un peu revanchard et perdu dans ses songes. C'est à cause de ça qu'il s'est perdu. Il ne croit plus en ses rêves. Il est bouleversé, il ne sait pas quoi faire. Il n'est pourtant pas à plaindre. Il a des vœux, il a une vie à lui. Alors, pourquoi tourner tout cela au mélodrame ! Quelques rêves qui pourrissent et prennent la poussière dans un coin de sa tête, ce n'est jamais quelque chose de bien grave ! C'est juste d'un triste grotesque car il n'a plus grandes choses à envier. Alors que c'est un homme cupide, alors que c'est un putain d'envieux qui ne sait plus ce qu'il veut

Ses peurs et phobies » Ne soyons pas étonnés que le jeune homme ait des frayeurs nocturnes qui le réveillent en sueur dans un lendemain où l'angoisse le traque dans ce qui n'a pas achevé la veille. Après tout, encore heureux, Shino reste un gamin versatile qui, même si sa doctrine ne diffère que rarement, sait reconnaître ce qui le tracasse au point qu'il pourrait se tuer pour cesser cette paranoïa constante qui lui taraude l'orgueil. Mensonges. Paradoxe viscéral. Il a peur des mensonges alors qu'il en devient presque spécialiste, alors qu'il excuse son comportement par des brefs mots sans valeur, alors qu'il ne cesse de proférer dans chaque écho d'un monde un peu creux qu'il nous berce de leurres, alors qu'il croit que son bonheur est dû à la sûreté du sol qu'il empiète et des idées qu'il estime comme étant celle dont la vérité absolue triomphe. Il a peur, si peur de se retrouver seul avec pour seule compagnie la misérable culpabilité, le frère sans visage du remord inoubliable, autant qu'il a la trouille qu'un jour, monsieur et madame Aru lui avouent qu'ils ne sont pas ses vrais parents et qu'il a été adopté. Soumission constante de découvrir qu'il n'est pas leur fils, qu'il n'a jamais eu d'existence réel, que ceux à ses côtés ne sont que perfidies et tromperies derrière son dos. Extrême effroi de savoir ce qui se cache dans le passé brumeux de certains, de découvrir ce qui effraie les autres au point de le fuir. Gifle givrée de se rendre compte que son avenir et tout sur ce qu'il compte n'est que le berceau d'un monde où n’est que décadence. Fatalité compressée. Aucune coïncidence. Manipulations. Désillusions. Mensonges et trahisons. C'est triste, malsain ou juste véridique, mais tout ce qu'il fuit est tout simplement ce qu'il est. Quand la vérité s'étale devant lui, il se demande si tout cela n'est pas qu'une impression, qu'une illusion que son subconscient aurait barbouillé dans l'esquisse de ses rêves... Comme si c'était absurde. Comme si c'était incompatible. Comme si c'était impossible. Mais ça l'est, impossible. Tout ça n'est que la torpeur de son esprit un peu tordu, un peu miséreux et abattu. Alors qu'il ne croit plus en rien, il se surprend à espérer qu'un renouveau le frappe un bon coup, histoire de soulager un peu le béguin qu'il a eu à se plonger jusqu'à toucher le fond. Jusqu'à qu'il n'y en ait plus, de fond. Alors, sans doute, la peur de se lier aux autres engendrée par ses autres paranoïas explique cette tension et cette antipathie aiguë qui découlent dans ses humeurs moroses à la simple vu d'une silhouette aimable. Peut-être qu'il n'est pas doué, peut-être qu'il a peur d'être trahi alors que c'est lui le mal, alors que c'est lui l'unique fautif. On aurait besoin de tellement d'hyperboles, de pléonasmes ou d'autres mots de grammaire difficiles pour insister sur le fait qu'il est un peu dépassé par tous ses non-dits, etc, qu'il n'a pas l'esprit bien clair à cause de soucis familiaux ou d'autres conneries du genre. En fait, si on cherche, on peut lui trouver tous les vices du monde, toutes les gâteries qu'il a voulu en dépassant un peu plus les limites à chaque caprice. C'est pour ça qu'il a la profonde peur de lui-même. Vous y croyez, vous ! Il a peur de lui-même, de ce qu'il est capable de faire pour anéantir cette partie de son anatomie qui le dérange, qui le ronge jusqu'à le faire saigner tellement c'est corrosive. Il a peur. Peur de tout. Mais en même temps, il est tellement indifférent. Oh, encore un mensonge ?

Ses goûts et préférences » Shino déteste la compagnie d'autrui. Il éprouve une certaine exaspération à convenir aux autres pour trainer avec. Les gens qui le collent ou qui crient dans ses oreilles le donnent juste envie de vomir. Les caprices de ces gens le rendent malade. Il n'a jamais été doué pour se faire des amis. Pourtant, il a peur de se retrouver définitivement seul. Alors, comme pour oublier quelque chose qui lui échappe, il s'entoure d'hypocrites. Il a toujours l'air populaire et prisé, entouré par des groupes de filles et de garçons, toujours celui qui accepte de se rendre au karaoké après les cours et qui se promène de groupes en groupes pour taquiner les gens. Alors qu'au fond, il se sent terriblement perdu, comme si tout ce qui lui était du n'était qu'un abysse de mensonges. C'est un vrai gamin alors qu'il aime les choses que possèdent un adulte. Tantôt il aimera le noir, tantôt il trouvera que le rouge est magnifique. Tantôt il aimera manger salé, tantôt il trouvera cela abhorrant et préfèrera le doux du sucré. Il est volage et ses goûts en subissent les conséquences.
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ISOLATION - Paint it in red
The memories that I can see no way keep on suffering me. The crossover feelings are caught in a whirl. I want to get closer to you even if I grovel in the dirt. Still I have an illusion and keep on dreaming an endless dream. In the darkness, I feel you. Pull me in your arms as still being naked. I'll kill the others, I'll do that just for you.
Le passé nous piégeait. Aujourd'hui encore, nous restions prisonniers de la guerre finie depuis longtemps entre nos parents, demeurant enfermés dans une prison de mauvais souvenirs, en échangeant des regards furtifs, des secrets connus, et d'autres enfouis qui lançaient des éclairs entre nous.


INTRODUCTION >>

Il ment. Il ment quand il te dit qu'il n'a jamais visité les pays européens. C'est petit, insignifiant, mais tellement ridicule. Tu ne sais même pas pourquoi il te le cache, ça, ton papa. Ça se voit comme le nez au milieu de la figure, pourtant. Tu sais simplement que tu es né dans une famille qui transpire la malhonnêteté. Dans ce Japon, non, dans ce monde qui ne mérite aucune confiance, maman elle-même s'invente une vie à te raconter pour palier à la frustration de son chômage. Après tout, comment te dire que tu n'auras jamais les jouets que tu désires ? Comment te dire que tu n'auras jamais un bol de plus que ce que ta famine voudrait ? Devant tout le monde, en allant pourtant dépenser votre seule fortune dans les restaurant entre amis du voisinage, vous faites bonne figure devant eux. Vous êtes des messieurs Tartuffe. Non, ils sont comme lui, tes parents. Ils plongent dans un bonheur illusoire à pieds joints en espérant qu'en atterrissant, la honte qui les recouvrirait sera moins impartiale. L'autrui est votre bourreau et vous vous soumettez volontiers à toute cette mascarade. Mais ça te dégoute, oui, toi. Toi, t'as très bien compris que vous étiez pauvres, qu'il fallait de bonnes notes pour vous sortir de cette misère et qu'ils plaçaient tout leur espoir sur toi, comme si tu étais le havre de paix de leur avenir, celui qui leur montrerait la lumière alors qu'ils s'engouffrent tous dans un mal effrayant, en t'enchainant à eux sans que tu ne puisses rétorquer ce que tu ressens.

Quelle poisse. Tu as appris à mentir des meilleurs.


FIN DE L'INTRODUCTION <<



Shino, c'était juste un gamin mûr un peu trop tôt et à laquelle les parents ont préféré mentir pour lui faire vivre une enfance « des plus heureuses ». Mais de cette éducation est née une paranoïa qui a fini par se retourner contre ses géniteurs. La peur du mensonge. La peur qu'un jour, on lui annonce que Madame et Monsieur Aru ne sont que des parents adoptifs. La peur qu'on le fasse de nouveau chanter en le berçant de douces paroles. La peur qu'on abuse de sa confiance. À vrai dire, ça n'aurait pu être qu'une légère méfiance. Mais sont arrivés ses neuf ans. Et avec eux, une nouvelle qui a changé la donne.


Tu es entré dans la salle à manger, les baskets toujours à tes pieds en laissant tomber ton sac de cours. Ta mère a toujours ce regard vide, ce manque d'expression, ce masque grisâtre qui commençait à se briser sur le bas comme si la vérité la rattrapait et l'engouffrait, comme si c'était elle le bien, et non l'honnêteté. Ça te rendait malade. Et comme d'habitude, tu t'assoies sans rien dire à ta place, sur la chaise que l'on t'avait désigné comme si on te disait « tu dois toujours obéir et rester à ta place, c'est compris ? ». Quand elle est comme ça, ton père te dit qu'il faut que tu ne dises rien, que ça ira, que ça va passer et que c'est juste un état passager. Mensonges. Des remarques acerbes te brûlent la langue et tu sens ta main trembler dangereusement quand tu manipules tes baguettes. Tu aimerais tellement les lui planter dans la gueule et lui dire d'arrêter de sourire bêtement. Elle te saoulait à être aussi dépressive, aussi inexpressive et égoïste. Son frère et son père sont mort, mais c'est une raison pour devenir ainsi ? Elle t'énerve. Tu la hais. Tu la hais tellement. Lorsque les domestiques servent le repas, elle les remercie avec un air de bienveillance qui te dégoûte. Ces yeux tristes ne s'accordent pas avec ce sourire. Dans quelques années, tu aurais supporté ce sourire parce que tu faisais le même aux autres.
 
« Shino, tu t'es encore battu ? »

Tu as oublié de te changer. Le bandage que l'on t'avait fait aux phalanges est encore rouge de ce pourpre. Tu sentais encore l'odeur des médicaments et de l'infirmerie. Tes yeux brillent pourtant et tu lui réponds au tact au tact, sans cesser de sourire, toi aussi. Oh, ta lèvre inférieur est enflée.

« Bien sûr que non.
- J'aimerais que tu ne me mentes pas. Et cesses immédiatement tes bêtises... Tu sais que ça fait de la peine à ta mère quand tu rentres dans cet état. »

Sa remarque t'arrache une grimace et tu cesses alors de sourire. Elle t'énerve !, elle t'énerve !, elle t'énerve ! Tout le monde lui fait de la peine, elle est toujours comme ça. Elle se plaint toujours, comme si c'était la seule qui devait être peinée et aussi larmoyante, comme si la Mort était venue la taquiner pour la voir pleurer en silence, elle et seulement elle. N'était-elle pas cruelle de se comporter ainsi alors que la famille de son frère devait être abattue ? Alors que le vieux souriait au moment de partir ? Égoïste, elle ne pense qu'à leur perte comme une apocalypse alors qu'il y a tant de raison de ne pas se morfondre ainsi ! La mort des autres t'a toujours été si indifférente. Si normale. Si ennuyeuse. En plus, tu ne vois pas pourquoi arrêter de te battre changera quelque chose ; surtout que c'était ce mec qui avait commencé et tu refusais de te taire devant l'impudence de ces idiots. Tu entends la porte qui claque et le bruit de quelqu'un qui se déchausse. Tu souris à ton père. 

« J'ai fini, je monte. »

Il soupire mais te laisse sortir de table. Ta mère ne te lance qu'un sourire faible, perdue dans ses pensées, dans un autre montre qu'elle se créait en prétextant s'être faite kidnapper. Tu ne le lui rends même pas, préférant l'ignorer au point de lui lancer un regard noir. Tu la hais, autant pour ce qu'elle est que ce tu en deviens à cause d'elle. Tu n'as pas encore atteint la porte qu'elle t'interpelle encore. Elle apostrophe ton nom ;

Tu ne réponds pas.


« Ce n'est pas grave... Je voulais juste te dire qu'il ne fallait pas t'en faire pour ton comportement, je sais que tu m'aimes. »

Ne pas t'en faire, ne pas t'inquiéter, ne surtout pas répliquer... Tu ne réponds toujours pas et quittes la pièce rapidement. Tu la hais. Tu la hais. Une fois arrivé là haut, c'est toujours la même chose : ta porte s'encastre gauchement contre le mur et tu t'écroules sur ton lit en jetant ton clavier contre le sol. Les éclats se brisent toujours et chaque touche est jetée à la poubelle. Tout démolir. Tu les hais. Tu les hais. Ton père cri ton prénom mais il est trop tard, jamais tu n'accepteras d'admettre que tu as mal agis et que ce gosse ne t'avait rien fait. Juste toi qui déraillait. Juste toi qui devenait fou. Ton père avait raison, tu t'es encore battu pour rien. Tu te battais toujours pour rien, juste pour aimer faire peur, juste pour te dire que tu pouvais encore arrêter tes angoisses en t'irritant avec autrui. Mais c'était mineur. Il faut juste que tu fasses attention à ne pas trébucher pour la prochaine fois. Parce qu'il y aura une prochaine fois, tu le sais. Ça ne s'arrêtera pas. Tu dois te dire que chaque matin, tu devras mentir à toutes ces personnes qui attendent de toi que tu leur souris. Tu les hais. Tu les hais.

La nuit passe, les jours passent.
Tu te hais. Tu te hais.

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WEBMISTER
BEHIND THE SCREEN
Pseudo » Jacqueline Anne-marie Roseline De Chateaublanc-sur-Brieux AKA. Paindore. Absolument. 

Découverte du forum » Sora aka. Panpan, qui m'a demandé si j'étais dispo' pour squatter ce forum. Faites-lui pleins de poutoux & d'enfants ; elle est assez polygame pour accepter ça. & j'avoue que j'ai été assez agréablement surpris en découvrant l'existence de votre forum. Je ne savais pas du tout qu'il était sur la toile vu que je suis plus axé sur les forums RPG anglophones ou de forumactif, et non pas forum-actif (il y a une différence, oui oui), et je crois que les plus gros forums récents non plus, ce qui est vraiment dommage.

Des suggestions pertinentes à relever » Ça a l'utilité de Patrick Sebastien comme une grosse semi tanche de busard de merde un peu, c'est pour ça que je suis venu. & C'EST DE LA DAUBE EN BOÎTE. Mais je vous aime bien. Non sérieusement, vous m'avez conquis, j'adore le contexte il roxe des pingouins en Afrique centrale et l'idée du graphisme de toutes les bannières est juste génial je suis fan & vous m'avez l'air sympas d'après les échos que j'entends de vous alors voilà je vous embrasse sur les bourrelets. Lovu.

& des remarques ? »  J'étais caché dans les toilettes pour manger ma mie de pain.  La clef de l'énigme se trouve sous tes yeux.

Les crédits » Écrits & codage ©Paindore.

Le mot de la fin » Je tiens à dire que mon personnage est juste d'une complexité sans nom et que moi-même, même en étant le créateur, ai du mal à comprendre cette fiche. Néanmoins, je me suis amusé en écrivant et construisant ce personnage, même s'il n'est pas du tout attachant. & j'offre des lamas à tous ceux qui ont eu le courage de lire jusqu'à la fin. LOVE (& oui, je suis la personne qui a raté son inscription)(encore désolé Q__Q).

PS. Celui qui reconnaît les cinq citations de paroles de chansons que j'ai habilement glissé dans les sous-titres de chaque partie a toute mon admiration. 8D


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WHITE OBLIVION ●● 志乃
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