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Mowgli ▬ Le roi de la jungle c'est moi!

Mowgli

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message posté le Lun 11 Fév 2013 - 23:22 dans Mowgli ▬ Le roi de la jungle c'est moi!
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♪ Il en faut peu pour être heureux

    Prénom et pseudo : Rosita, surnommée Mowgli.
    Âge : Onze ans.
    Origines : Argentine (coté espagnol).
    Arrivée : 2001.
    Manie, habitude : Se plaindre et parler très fort, rire, mâchouiller ses cheveux.
    Marque : Couronne remplie au milieu du front (histoire de passé inaperçu).
    Groupe : Jaune.



♫ Chassez de votre esprit tous vos soucis


    Une petite silhouette, les cheveux longs en pagaille dans le vent, qui court un peu partout sans s’arrêter. Ça, tu vois, c’est Mowgli. Une gamine à l’ancienne santé fragile qui rêve d’être forte comme un garçon. Elle sourit pour pas grand-chose, la moindre petite miette de bonheur qui se colle à ses lèvres. Ses grands yeux noisettes, cherchent, ne s’arrêtent pas; tout l’intéresse, rien ne l’ennui. Elle viendra vers toi, et même si elle ne te connais pas, te sautera au cou. S’inquiètera de tes soucis, te fera rire, te distraira. Si tu fais pareil, alors vous serez amis pour la vie. Être son ami, à Mowgli, ce n’est pas bien compliqué. Elle aime moins les gens méchants, c’est vrai, mais ira quand même à leur rencontre dans l’espoir de les adoucir.

    L’espoir et la joie, c’est-ce qui la décrit le mieux. Elle n’abandonne jamais, ce qui la rend sacrément têtue. Sa peau de pèche se laisse facilement brunir au soleil et ses joues sont roses d’excitation ou d’épuisement la plupart du temps. Parce qu’elle ne tient pas en place. Il faut qu’elle bouge, qu’elle court, qu’elle saute, qu’elle danse. Elle rigole, gueule, et fait toujours beaucoup trop de bruit. En fait, elle ne sait pas être discrète, ni se retenir. Impatiente à toutes heures, elle veut tout savoir, tout avoir, tout faire.

    Bien qu’elle soit au tout début de l’adolescence, Mowgli reste éperdument gamine. Adorant son état, elle refuse de changer, et tourne le dos à toutes activités de grandes. Et puis, en plus, bien qu’elle porte des robes et que ses cheveux soient long, ça lui aurait plu d’être un garçon. Parce qu’elle a une grande admiration pour le sexe opposé. Ses affaires, elle n’y fait pas attention, les abimes. C’est pour ça que ses cheveux sont dans un état catastrophique et ses vêtements souvent sales et déchirés. Parce qu’elle grimpe aux arbres, suit les animaux, joue dans le sable, roule par terre, marche dans la boue. Rien ne l’arrête.

    Quand elle se plaint c’est plus par honnêteté que par agacement. Elle dira tout ce qu’elle pense. Et les conséquences? Peu importe. Même les rares fois où elle ment, ça ce voit tout de suite, parce qu’avec sa trop grande imagination elle invente toujours les histoires les plus farfelues et improbables.



☼ Prenez la vie du bon côté, riez, sautez, dansez, chantez


    Il voyaient le docteur aujourd’hui. Rosita a beau en avoir vu passer des docteurs, elle a toujours peur d’eux. Elle peut toujours dire « On ne peut pas leur faire confiance, maman! » et même rajouter « Je suis sure que c’est eux qui font exprès de dire que je suis malade pour que je reste au lit mais quand fait je vais très bien! » sa maman ne voulait pas lui lâcher la main. Sa poigne autoritaire ne laissait aucune chance à Rosita de s’échapper.

    Elle n’aime pas la salle d’attente. Les grands qui lisent des journaux à l’air si ennuyeux que même s’ils ont toujours étés posés là personne ne les a jamais ramené à la maison. Les vieux trop fatigués qui ne réussissent qu’à rester assis, les yeux dans le vague et le regard perdu. Et les jeunes, les sens aux aguets, ne sachant pas quoi faire. Rosita fait parti de cette catégorie là. Elle a sept ans, bientôt huit. Elle est fébrile. Malade, et nerveuse. Rester sur cette chaise épuisé qui a porté tant de gens dans sa vie lui est très difficile. Elle n’a jamais aimée être assise, immobile. Elle déteste ces journées où on l’oblige à rester dans son lit. Alors, toujours, elle redoute de voir le médecin. De rester dans le silence de la salle d’attente à ne rien faire. Quand le moindre toussotement ou frottement de vêtement la fait sursauter. Et sa mère, juste à coté d’elle, qui s’impose de sa simple présence. Quel enfer.

    Dans la salle d’attente le temps disparait. Il se dissout, s’allonge, devient infini. On le sens que trop bien en fixant les aiguilles qui ne tournent pas. La porte s’ouvre, le docteur apparait. Une personne se lève. Et il faut attendre, encore. Les nerfs sont hachés, piétinés, réduits en bouillis. Rosita a l’impression qu’elle va mourir. Mourir de ce temps qui l’étrangle, de ce silence qui l’asphyxie, de cette lourdeur dans l’air qui lui courbe le dos. Voilà, elle ne peut plus respirer. Elle ne peut plus bouger. Son cœur est compressé, c’est la fin.

    Dans le cabinet du médecin, elle se remet doucement. A moitié nue sur la grande chaise qui s’allonge, le docteur qu’elle n’aime pas pose ce cercle froid sur sa peau. Il mesure les battements de son cœur paniqué. Puis il lui fait ouvrir la bouche, et dire « Ah » et elle aimerait crier mais elle n’y arrive pas. Ensuite elle doit se forcer à tousser. Ça lui abime la gorge. Et il tâte, ses jambes, et frappe, quelques petits coups. Rosita ne le sent même plus. En fait, elle ne sens plus rien. Elle s’est évanouie.

    À son réveil sa mère parle avec le médecin, surement qu’il lui prescrit des médicaments et propose d’autres longues journées à passer sous les draps. Elle est déjà rhabillée, alors sa maman lui dit de se lever. Elle reprend sa main en otage et dit au revoir au médecin. Demande à sa fille de dire au revoir aussi. Mais Rosita se contente de fixer le docteur qu’elle n'aime décidément vraiment pas, les sourcils froncés. Sa mère s’excuse, le médecin rit. Rosita n'a jamais compris ça. Pourquoi sa mère s’excuse à sa place, et pourquoi les docteurs rient de choses qui sont pas drôles.

    Maman est fâchée et une fois arrivée à la maison elle lâche la main de Rosita et refuse de lui parler. Son papa, au moins, lui sourit. Pas longtemps parce que maman lui a fait un regard méchant. La petite reste pas plus longtemps, elle fonce là haut, pour retrouver Juan. Son frère qui a trois ans de plus qu’elle est dans sa chambre, en train de faire des maquettes. Elle arrive, va chercher une chaise et s’installe au bureau de son frère, le plus près qu’elle peut de lui sans le gêner. Alors, même si Juan et très concentré et ne lève pas les yeux de sa maquette, et Rosita est très concentrée à admirer chaque étape de son travail, ils parlent. De tout de rien. Des journées de Juan à l’école. Des journées de Rosita à la maison. Mais toujours, ils rajoutent, enlèvent, modifient.

    Juan, à l’école, la maîtresse lui pose une question et il répond tellement bien que toute la classe décide que ce sera lui le professeur pour toute la journée. Et il fait un tellement bon professeur que la classe est en avance sur le programme et même la maîtresse apprend des choses. Rosita le croit, elle sait que son frère c’est le plus intelligent de toute la planète, même qu’il a déjà sauté une classe.

    Rosita, à la maison, s’ennui dans son lit. Mais sous la couette, elle chuchote des mots magiques, et quand elle va sous le lit elle change d’univers. Elle arrive dans le monde des croque-mitaines. Ceux-ci découvrent l’intruse et se lancent à sa poursuite. Mais Rosita n’est pas une lâche alors elle ne fuit pas. Impressionnés par son courage quand ils apprennent que la petite fille n’a pas peur d’eux, ils décident de faire la paix et tout le monde devient bons amis. Juan sourit et la félicite, parce que lui il a toujours eu un peu peur des croque-mitaines.

    Et ça leur va très bien comme ça. En fait, ils ont tous les deux besoin de ça. Parce que la réalité pure est moins agréable. Juan est le premier de la classe, au collège avec un an de moins que les autres, et n’a pas vraiment d’amis là bas. Rosita s’ennui toute la journée, elle lit, regarde des cassettes, joue toute seule, mais le temps ne passe jamais assez vite. L’un préférerait rester à la maison, l’autre sortir. Heureusement, pour mettre tout le monde d’accord, il y a leur voisin, Andrés. Deux ans de plus que Juan, cinq de plus que Rosita. Comme son frère, il est en première année de collège, parce qu’il a redoublé. Et lui non plus, il n’a pas beaucoup d’amis, parce qu’il n’est pas toujours agréable, dit des choses méchantes et aime se battre. Sa maman se plaint souvent de lui. Mais eux trois, ils s’entendent bien, même s’ils sont tous très différent. Andrés veut tout commander, choisir, faire sa loi, Juan est calme et se contente de suivre à part quand il pense que c’est vraiment une trop mauvaise idée, et Rosita est beaucoup trop heureuse pour se fâcher de quoi que ce soit et toujours prête à tout.

    Quand aucun adulte n’est là, Andrés rigole fort de la prochaine bêtise qu’il va faire qu’il a déjà en tête, Rosita sourit en imaginant ce que ça va être, et Juan essaye de faire celui qui n’est pas d’accord mais en fait il est lui aussi intéressé. Et Andrés dit « Je vais vous prendre en otages! », et ensuite il prend Rosita dans ses bras pour la sortir de son lit et court dehors, Juan le suivant. Et il les emmènent dans des endroits magiques qu’il a trouvé tout seul à force d’aller partout. Rosita peut alors courir, même si ça la fatigue, et même si elle tombe. Juan n’a plus à s’inquiéter de rien, il oubli même que s’ils se font prendre par les parents ils auront le droit à une grosse punition. Andrés se sent comme tout le monde, apprécié, avec ses amis près de lui. Ce trio leur est bénéfique, ils savent se compléter sans effort et se faire du bien.

    « Moi je suis Mowgli, le roi de la jungle! » hurle Rosita. Andrés rigole et fini par crier lui aussi « Et moi je suis Bagheera! ». Alors Juan les regarde, avec une moue un peu triste, se croyant sorti du lot. « Et toi t’es qui? » lui demande Andrés. Il ne sait pas, qu’ils comprennent en le voyant secouer la tête. Rosita s’approche de lui et le prend dans ses bras, en manquant de tomber au passage. « Toi tu es Baloo! Mon Baloo! ». Et c’est comme ça qu’ils commencèrent leur propre livre de la jungle. Ne s’appelant plus que Mowgli, Bagheera et Baloo entre eux.

    « Dis donc, pour le petit bonhomme de la jungle, tu fais quand même vachement fille Mowgli! » et Mowgli pali. « Noooon, c’est juste que… Heu… J’ai des cheveux longs parce qu’il y a pas de ciseaux dans la jungle, voilà! » et elle se sent fière d’avoir trouvée cette excuse. Mais voilà que son frère en rajoute une couche « Oui mais un garçon ça ne porte pas de robe. » et elle le regarde les yeux sévères. « C’est Shere Khan, il m’oblige, je peux rien faire! » et par Shere Khan elle parle bien sur de sa mère. « Et père loup ne peux pas t’aider? » que Baloo rajoute encore « Non, il est trop faible face à Shere Khan. Tout le monde à peur de Shere Khan. » et père loup est bien sur leur père, et Baloo approuve silencieusement les mots de Mowgli. Mais Bagheera proteste « Faux! Moi j’ai peur de personne! » parce qu’il n’a vraiment peur de personne. Pour preuve, sa propre mère était encore plus effrayante que la leur si on l’écoutait, mais il continu quand même à faire des bêtises et à se laisser punir. Sa mère à lui ils l’avaient rebaptisé Tabaqui, le complice de Shere Khan. Ils étaient surs qu'elles se voyaient en secret pour discuter des prochaines punitions.

    Et ça a continué comme ça longtemps. Plus que ce que les gens avaient pariés. Oui, parce que les adultes, et même les autres enfants, devant ce trio surprenant, étaient persuadés que ça durerait peu. Mais leur amitié ne faisait que devenir plus forte encore avec le temps. Si forte qu’ils se pardonnaient tout, acceptaient tout les uns des autres. Les taquineries n’étaient jamais sincères. Tu es comme ça, tu as ces défauts, ces qualités, eh bah c’est bien écoute, je t’aime. Ils avaient quelque chose en plus, quand ils étaient ensemble, unis, invincibles même. Mowgli développa une grande fascination pour ces deux garçons, était fière et un peu jalouse de leurs forces. Elle voulait se construire avec Baloo et Bagheera comme modèles. Grace à leur aide elle avait enfin pu aller à l’école à temps plein. Pas que ça l’a enchanté au final, elle s’y ennuyait en cours, mais elle s’était fait d’autres amis. Et Baloo l’aidait quand elle ne comprenait pas. Il aidait Bagheera à rattraper son retard aussi. Elle trouvait ça charmant, ainsi elle se disait qu’ils resteraient toujours ensemble.

    Elle n’a jamais eu aussi tord. À peine plus d’une semaine après son onzième anniversaire, Bagheera déménagea. Très loin. Si loin qu’ils ne pourraient plus jamais se voir c’était sur. Ou, des mots de Tabaqui ils ne se retrouveraient qu’une fois l’an, aux grandes vacances d’été. Qu’une fois l’an! Mowgli croyait être l’enfant la plus triste de l’univers. Mais là encore, elle se trompait. Elle n’avait pas remarquée qu’ils étaient devenus si proches. Mowgli avait onze ans, Baloo en avait presque quatorze, et Bagheera bientôt seize. Ils étaient presque des adultes en fait. Elle avait été abandonnée, laissée loin en arrière, sans même le savoir. Normalement, un garçon ça ne pleure pas. D’accord, c’est vrai, son frère est plus faible, plus sensible, mais elle restait figée d’incompréhension. Père loup souriait tristement, Shere Khan l’ignorait.

    Baloo et Bagheera s’aimaient plus que prévu. Plus l’un pour l’autre que pour le trio. Elle ne voulait pas leur en vouloir, au fond c’est bien d’aimer quelqu’un. C’est très bien. Mais ils ne l’aimait, elle, pas tant que ça. Elle avait moins d’importance. Alors qu’elle les avait aimé tous les deux de la même façon, Bagheera devenant son second frère. Non.

    Elle fonça dans sa chambre, s’y enferma. Essaya de se cacher sous la couette. Elle sanglotait alors qu’elle se voulait forte « C’est pas vrai, c’est pas vrai… ». Elle pensait qu’ils ne grandiraient pas, tous les trois ensemble. Mais ils étaient devenus grands, ils étaient devenus importants. Et elle, elle était petite, minuscule. Elle n’était rien. Pour cette fois, pour de vrai, elle est allée sous son lit, et elle a dit les mots magique. En pleurant. Alors qu’elle ne pleure jamais. Et elle espérait tellement fort que les croque-mitaines la pourchasserait. Et elle leur montrerait, qu’elle est si forte, si tellement plus forte que tout le monde, qu’ils l’aimerait. Et peut être qu’alors, elle pourra devenir le roi de la jungle, même si elle est une fille, et que personne ne l’abandonnerait.



☺ Et toute la jungle est ma maison

    Moi c'est Chabus et je suis un ours très bien léché. Je suis arrivé là tout à fait par inadvertance d'une main qui m'y a poussé. Et c'est aussi mon deuxième personnage à avoir atérit dans ce rêve, je lui souhaite bien de la chance. Sinon je sais très bien que [code validé ♥], merci. Oh et pour représenter Mowgli j'ai choisi Takakura Himari de Mawaru Penguindrum.
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Astrid Age : 30
Humeur : Changeante.

Astrid


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message posté le Mar 26 Fév 2013 - 23:34 dans Re: Mowgli ▬ Le roi de la jungle c'est moi!
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« Toi si petite, toi qui ne comprend pas et ne veux pas comprendre, Astrid va t'aider à trouver ton chemin dans ton illusion. Rester, partir ? Pour que tu puisses faire ton choix, elle va te peindre en JAUNE ! »
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message posté le Ven 1 Mar 2013 - 20:52 dans Re: Mowgli ▬ Le roi de la jungle c'est moi!
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    Tout est noir sous le lit. Elle attend, attend l’espoir. Il ne se passe rien, et le temps passe. Long ou court elle ne sait pas. Ne veut plus savoir. Ne veut plus penser à rien. Aimerait bien, au fond, que le monde disparaisse. Même si ce serait triste, un peu. Après tout, là, c’est elle qui est triste, alors elle joue l’égoïste. Que tout le monde goute à sa tristesse, que le monde disparaisse. C’est-ce qu’elle espère fort, se persuade être son souhait.

    Mais c’est faux. Si faux que ça lui fait mal à la gorge.

    Et alors qu’au final elle n’attend plus rien, quelque chose s’approche. Elle l’entend arriver. Même si elle ne comprend pas la nature de ce son. Et puis une voix. Une jeune voix. Une jeune voix de fille. Elle ouvre les yeux, puis les écarquilles.

    Là, devant elle, une petite fille, de son âge peut être. Toute blanche. Tellement si blanche. Un éclat de lumière, un fragment d’espoir pur, dans l’univers si noir de dessous le lit.

    Et elle se met à chanter. D’une voix aussi peinée que celle de Rosita. Rosita ou pas. Mowgli. Elle ne sait plus. Qui est-elle maintenant? Elle se contente d’écouter cette histoire de couleurs. Et à la fin de la chanson, les mots magiques. Presque les mêmes qu’elle a murmurée en larmes.


    Viens jouer avec moi.


    Elle se relève, Rosita ou Mowgli, d’un coup. Ça lui fait même mal à la tête. Mais elle n’a pas le temps de penser à ça. Elle court, saute presque dans ses bras. Petit éclat triste. Petite étoile. Oui, elle veut jouer. Elle cri. Oui, oui, oui. Tellement de oui.

    Et les couleurs la submerge. Partout autour d’elle. L’étoile de fille a disparut. Où est-elle? Où sont-elles? Ce n’est pas possible que ce soit le monde des croque-mitaines, avec toutes ces couleurs qui lui sourient si chaleureusement.

    Le pays imaginaire? Voyons… C’était elle, l’étoile? La deuxième à droite. Celle pour laquelle il faut s’envoler, ou rêver.

    Et voilà Mowgli. L’étrange roi un peu raté de la jungle. Sans plus ni Baloo ni Bagheera à ses cotés. Dans un autre univers que le leurs. La voilà, peut être, réincarnée en enfant perdu. Oui, ce doit être ça. Elle se persuade que c’est ça.

    Et si ce monde est si plein de couleurs, alors c’est merveilleux. S’il y a des sirènes, des fées, des pirates, des indiens et d’autres enfants perdus, elle n’a besoin de rien d’autre. Même pas de son frère. Ni de ce frère de cœur. Non, elle n’aura plus besoin d’eux, comme ils n’ont plus besoin d’elle. Voilà!

    Les idées aussi réjouies que possible, elle court. Et courir ne lui fait pas mal, ne la fatigue plus autant. Alors, maintenant, rien ne saura l’arrêter. Elle sera un vrai roi.

    Et elle se lance à l’aventure.
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Astrid Age : 30
Humeur : Changeante.

Astrid


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message posté le Sam 2 Mar 2013 - 17:20 dans Re: Mowgli ▬ Le roi de la jungle c'est moi!
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Très excellentissime jolie mignonne epic généralissime émouvante merveilleuse fiche ♥ *à court d'adjectifs*

Validée JAUNE !

Je t'aime fiston ♥ J'espère que tu t'amuseras bien avec Mowgli ^o^
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message posté le dans Re: Mowgli ▬ Le roi de la jungle c'est moi!
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