I- 1, 2, 3, Gray of the mind.
Prénom : Lisill
Surnom : je vous laisse m’en choisir un !
Âge : 18 ans
Origines : Américaines et anglaises
Arrivée : 2012
Manie, habitude : Analyser les esprits
Groupe : Mystère et boule de gomme.
II- 4, 5, 6,Blue tears.
Violet. De grand yeux violet qui vous détaille, transperce votre esprit, qui analyse vos sentiment, qui déterre vos souvenir les plus sombres, qui vous donne envie de fuir. Tels sont les yeux de Lisill. On la fuit, on l’ignore, on essaie sans succès de l’éviter. Avec de longs cheveux noirs, noirs comme la nuit, sombre si sombre qu’il vous entraine dans les abysses, dans une nuit sans étoiles et une journée sans soleil. Pâle, une peau pâle, blanche et blafarde pareille à un fantôme. Nuit, un esprit comme la nuit, sans fond, qui brule et qui transperce quand on s’approche trop prêt. Flamme, une vie qui oscille comme une flamme, qui risque de s’éteindre à chaque instant. Qui brule qui qu’oncques s’approche de trop près. Silence, le silence pesant et lourd d'une fille qu'on ne comprend pas. Une famille lumineuse qui accueille un esprit de ténèbres. Une petite sœur joyeuse, un petit frère insouciant, une grande sœur sombre tellement sombre. Une fille que ses parents on finit par oublier, préférant son petit frère et sa petite sœur plus joyeux. Oublier, détester, ignorer.
Elle est devenue violente pour se protéger, utilisant son esprit analytique pour blesser les gens pour les faire souffrir. Pour les faire souffrir comme elle a souffert, elle frappe pour se protéger pour ne pas être oublié, pour ne pas être ignoré.
Noir, nuit, sombre, abysse, néant, vide, oublie, ignorance, rancune.
Un regard, un visage, un sourire pour vous emmener dans les plaines abyssales.
III- 7, 8, 9,Violet suffering.
Lisill, enfant, n’était pas comme les autres, elle parlait peu, ne souriait jamais. Mais elle analysait tout et tout le monde scannait les esprits et cela ne plaisait pas aux autres enfants qui l’évitaient et l’ignoraient. Ils se moquaient d’elle. Ils la blessaient et en retour elle les blessait en déterrant les souvenirs douloureux, puis elle découvrit que tout se réglait par la force, la force brute. Transpercer les personnes qui lui parlent par son regard de glace, frapper ceux qui se moquaient d’elle. Ne pas pleurer, ne jamais pleurer. Ne pas montrer ses faiblesses.
Transpercer.
Pourtant elle eut quelques amis, mais jamais très longtemps, ils ne supportaient pas son regard, son regard si froid, son regard sans expression, son regard toujours son regard. Un regard qui ne bronchent pas devant les blessures qu’elle inflige aux autres.
Blesser.
Au collège on la craignait et elle aimait ça, la peur dans les regards. Cette petite lueur dans leurs regards qui la mettait en confiance. Les professeurs n’arrivait pas à cadrer son caractère si changeant, ni ses yeux sans expression.
Craindre.
Pourtant Lisill se sentait seule et la solitude la faisait souffrir. C’était la solitude d’une enfant abandonnée par sa famille, la solitude la seule chose qui lui faisait peur. Une solitude qu’elle ressentait tous les jours.
Souffrir.
Puis arriva les 18 ans, et avec, les problèmes des rues sombres et dangereuses de New York. New York où meurt environ 1 personnes par minute, tué par balle ou poignarder. « Les rues sont dangereuses la nuit ne t’aventurent pas là-bas !! »Lui disait les gens qu’elle croisait la nuit quand elle errait sans but. Mais elle ne les écoutait pas, et assistait à des règlements de compte, qu’elle regardait, calme et sereine. Et parfois une lueur sadique animait son regard quand des fleurs de sang tapissait les murs. Oh, Lisill s’avait parfaitement que son comportement n’était pas normal. Que c’était un ‘’comportement de monstre’’ comme disait sa mère et son père. Mais elle ni pouvait rien, c’était comme ça.
Puis arriva ce jour, cet horrible jour où son regard eut une lueur de peur et où des larmes coulèrent sur ses joues. Blessures, des blessures dont une profonde sur l’abdomen et du sang son sang se répandant autour d’elle. Et une phrase, une phrase qu’elle aurait sans doute du écouter « Les rues sont dangereuses la nuit ne t’aventurent pas là-bas ». Et le sourire de celui qui l’avait poignardé, et ses paroles cruelles dites par la voix si douces de son père :
-Enfin débarrasser de toi !!! Tu sais tu nous portes la poisse alors…
Puis la sirène, la sirène des pompiers qui arrivent. Et enfin le noir, un noir sans pensé, sans tristesse, sans haine.
Le coma.
Haïr
« Bonjour petite couleur perdue… Astrid est là, Astrid est venue te sauver, n’aie plus peur… Astrid est seule aussi, veux-tu jouer avec Astrid ? »
Jouer. « Oui pourquoi pas. »pensa-t-elle. Lisill n’avait pas joué depuis si longtemps. Et la voix était si gentille, si douce. Et puis elle n’avait pas peur, de son regard.
Alors en souriant Lisill accepta. Et les 7 crayons que la petite fille tenait dans sa main commencèrent à tomber, un à un.
Alors tout doucement la fillette commença à chantonner :
« Astrid choisit une couleur, Astrid choisit une couleur !
De quelle couleur va-t-elle te peindre ?
Elle va te peindre en ROUGE !
Rouge passion, rouge colère…
Elle va te peindre en ORANGE !
Orange, centre de l’univers…
Elle va te peindre en JAUNE !
Tu seras heureux à jamais…
Elle va te peindre en VERT !
Vert, la chance te guidera mais…
Elle va te peindre en BLEU !
Peur dans les plaines abyssales…
Elle va te peindre en VIOLET !
Tes souvenirs te feront mal…
Elle va te peindre en INDIGO !
Ta folie tu ne pourras que craindre…
De quelle couleur va-t-elle te peindre ? »
Sourire
IV- 1, 2, 3,Green’s corpse.
Pseudo: Lisill et Kateniss
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